Sous l'impulsion volontariste de SM le Roi Mohammed VI, face aux nombreux défis du monde moderne et dans le contexte des crises régionales, le Maroc a tenu le cap d'un projet global ayant pour objectif un plus grand développement politique, social, économique et une diplomatie dynamique, a souligné le directeur de l'Observatoire d'études géostratégiques (OEG) de Paris Charles Saint-Prot.
Dans un entretien à la MAP à l'occasion des festivités marquant la Fête du Trône, l'expert français a indiqué que les quinze premières années du règne de SM le Roi Mohammed VI sont marquées par une modernisation profonde du pays dans le respect de ses traditions et de son identité et par des réalisations essentielles dans les domaines politique, socio-économique et diplomatique.
"Sur le plan politique, ces années ont été placées sous le signe du renforcement d'institutions adaptées au monde en évolution et de la consolidation d'un Etat de droit où se trouvent respectés à la fois le droit interne et international et les droits civils, politiques, humains , sociaux et culturels des citoyens", relève M. Saint-Prot, expliquant qu'il faut comprendre la notion d'Etat de droit dans le sens le plus large et dans le cadre d'une monarchie moderne, responsable et populaire.
Pour le directeur de l'OEG, la monarchie au Maroc est une monarchie de progrès qui est la garante des grands équilibres, de l'unité nationale de Tanger à la frontière mauritanienne, du bien commun et de l'effort d'adaptation dans le champ religieux.
La monarchie a été le moteur des initiatives concernant l'économie et le développement social, note l'expert français, rappelant que le Maroc a ouvert sur tous les fronts des chantiers qui devraient lui permettre de réussir le pari du développement global et durable auquel SM le Roi est très attaché.
Il souligne, à cet égard, que le Royaume a franchi des étapes décisives en modernisant ses infrastructures, en attirant des investisseurs et des partenaires internationaux de premier plan (Renault, Bombardier, Lafarge), en promouvant de vastes projets comme Tanger-Med, les énergies renouvelables, l'industrialisation ou les nouvelles technologies.
Le directeur de l'OEG note, en outre, que SM le Roi a veillé tout spécialement à ce que le développement économique ne soit pas dissocié du progrès social, ce qui a conduit le Souverain à lancer l'Initiative nationale de développement humain (INDH) et à créer de nombreuses Fondations caritatives ou sociales comme la Fondation Mohammed V pour la solidarité.
"On ne peut pas oublier le rôle essentiel du Souverain pour faire avancer la condition de la femme, que ce soit avec le nouveau Code de la famille, l'action en faveur des plus démunies ou la nomination de nombreuses femmes aux plus hautes fonctions de l'Etat", souligne M. Saint-Prot.
Concernant le volet de la diplomatie, le directeur de l'OEG affirme que SM le Roi Mohammed VI, qui gère d'une manière pragmatique et réaliste le conflit du Sahara, a su prendre un temps d'avance, rappelant qu'en 2007, alors que la situation était au point mort, le Maroc, fort du consensus national, a repris l'initiative en proposant un plan d'autonomie que toutes les grandes puissances considèrent comme le seul moyen de mettre fin à un conflit artificiel.
"Grâce à la diplomatie de grande envergure du Souverain, la thèse algéro-séparatiste a reculé et le nombre des Etats qui avaient reconnu la structure séparatiste fantoche a considérablement diminué, notamment en Afrique où SM le Roi Mohammed VI a développé une diplomatie très active axée sur une vision ambitieuse de la coopération sud-sud", relève M. Saint-Prot.
Tout en soulignant que l'Afrique représente la dimension stratégique du Royaume, qui est le seul pays du Maghreb arabe à avoir eu des relations multiséculaires avec les pays du continent, à les conserver et à les faire fructifier, l'expert affirme que SM le Roi du Maroc a fait de l'Afrique une priorité de la diplomatie du Royaume.
Le Maroc, fait-il observer, s'est également imposé comme un acteur incontournable dans la zone saharo-sahélienne où les événements récents, comme la crise du Mali, ont démontré que la stabilité dans toute cette partie de l'Afrique ne peut être garantie sans une forte implication du Maroc dans les processus de sécurité et de stabilisation dont certains prétendaient l'exclure.
"Il est possible d'affirmer que le Maroc est un pays émergent et une puissance diplomatique de tout premier ordre en raison de son rôle central pour la stabilité au sud de la Méditerranée. Cela a été rendu possible grâce à la stabilité assurée par une monarchie en constante évolution. C'est cela l'exception marocaine", précise le chercheur français.
Dans un entretien à la MAP à l'occasion des festivités marquant la Fête du Trône, l'expert français a indiqué que les quinze premières années du règne de SM le Roi Mohammed VI sont marquées par une modernisation profonde du pays dans le respect de ses traditions et de son identité et par des réalisations essentielles dans les domaines politique, socio-économique et diplomatique.
"Sur le plan politique, ces années ont été placées sous le signe du renforcement d'institutions adaptées au monde en évolution et de la consolidation d'un Etat de droit où se trouvent respectés à la fois le droit interne et international et les droits civils, politiques, humains , sociaux et culturels des citoyens", relève M. Saint-Prot, expliquant qu'il faut comprendre la notion d'Etat de droit dans le sens le plus large et dans le cadre d'une monarchie moderne, responsable et populaire.
Pour le directeur de l'OEG, la monarchie au Maroc est une monarchie de progrès qui est la garante des grands équilibres, de l'unité nationale de Tanger à la frontière mauritanienne, du bien commun et de l'effort d'adaptation dans le champ religieux.
La monarchie a été le moteur des initiatives concernant l'économie et le développement social, note l'expert français, rappelant que le Maroc a ouvert sur tous les fronts des chantiers qui devraient lui permettre de réussir le pari du développement global et durable auquel SM le Roi est très attaché.
Il souligne, à cet égard, que le Royaume a franchi des étapes décisives en modernisant ses infrastructures, en attirant des investisseurs et des partenaires internationaux de premier plan (Renault, Bombardier, Lafarge), en promouvant de vastes projets comme Tanger-Med, les énergies renouvelables, l'industrialisation ou les nouvelles technologies.
Le directeur de l'OEG note, en outre, que SM le Roi a veillé tout spécialement à ce que le développement économique ne soit pas dissocié du progrès social, ce qui a conduit le Souverain à lancer l'Initiative nationale de développement humain (INDH) et à créer de nombreuses Fondations caritatives ou sociales comme la Fondation Mohammed V pour la solidarité.
"On ne peut pas oublier le rôle essentiel du Souverain pour faire avancer la condition de la femme, que ce soit avec le nouveau Code de la famille, l'action en faveur des plus démunies ou la nomination de nombreuses femmes aux plus hautes fonctions de l'Etat", souligne M. Saint-Prot.
Concernant le volet de la diplomatie, le directeur de l'OEG affirme que SM le Roi Mohammed VI, qui gère d'une manière pragmatique et réaliste le conflit du Sahara, a su prendre un temps d'avance, rappelant qu'en 2007, alors que la situation était au point mort, le Maroc, fort du consensus national, a repris l'initiative en proposant un plan d'autonomie que toutes les grandes puissances considèrent comme le seul moyen de mettre fin à un conflit artificiel.
"Grâce à la diplomatie de grande envergure du Souverain, la thèse algéro-séparatiste a reculé et le nombre des Etats qui avaient reconnu la structure séparatiste fantoche a considérablement diminué, notamment en Afrique où SM le Roi Mohammed VI a développé une diplomatie très active axée sur une vision ambitieuse de la coopération sud-sud", relève M. Saint-Prot.
Tout en soulignant que l'Afrique représente la dimension stratégique du Royaume, qui est le seul pays du Maghreb arabe à avoir eu des relations multiséculaires avec les pays du continent, à les conserver et à les faire fructifier, l'expert affirme que SM le Roi du Maroc a fait de l'Afrique une priorité de la diplomatie du Royaume.
Le Maroc, fait-il observer, s'est également imposé comme un acteur incontournable dans la zone saharo-sahélienne où les événements récents, comme la crise du Mali, ont démontré que la stabilité dans toute cette partie de l'Afrique ne peut être garantie sans une forte implication du Maroc dans les processus de sécurité et de stabilisation dont certains prétendaient l'exclure.
"Il est possible d'affirmer que le Maroc est un pays émergent et une puissance diplomatique de tout premier ordre en raison de son rôle central pour la stabilité au sud de la Méditerranée. Cela a été rendu possible grâce à la stabilité assurée par une monarchie en constante évolution. C'est cela l'exception marocaine", précise le chercheur français.
Par : Noureddine Ellaouz
MAP