Il n'y a pas eu de miracle pour les Bleus. Une Allemagne réaliste et une équipe de France impuissante, voilà le résumé du quart de finale de la Coupe du monde joué vendredi au Maracana de Rio de Janeiro (défaite 1-0).
Dans une véritable étuve (28 degrés mais surtout 88% d'humidité), les hommes de Didier Deschamps n'ont jamais paru en mesure d'inquiéter une Mannschaft qui a ouvert le score sur coup de pied arrêté par Hummels (13e) plus prompt que Varane à récupérer de la tête un coup franc.
Les hommes de Löw se sont ensuite contentés de gérer tranquillement une avance au tableau d'affichage.
C'est le mot de frustration qui reviendra sans doute le plus dans les bouches des coéquipiers d'Hugo Lloris après cette rencontre. Les Bleus terminent leur Mondial sur une fausse note mais la marche semblait toutefois trop haute pour une équipe arrivée au Brésil sans trop de repères mais qui a su fédérer autour d'elle un véritable capital sympathie au fur et à mesure de son parcours brésilien.
Les larmes de Griezmann
Les larmes du jeune Griezmann, symbole de la prise de pouvoir de la jeunesse en équipe de France, montrent que les Bleus pensaient jouer un vilain tour à un des favoris de la compétition. «Dommage de s'arrêter en chemin», a déploré Valbuena très affecté par la défaite.
« On fait ce qu'il fallait pour les bousculer et l'Allemagne qui a plus d'expérience que nous a bien géré son avance d'un but, a pourtant assuré Didier Deschamps au micro de TF1. On a tout tenté jusqu'à la dernière occasion de Karim (Benzema). On n'est pas passé loin. On ne s'attendait pas un match facile. Neuer a fait les parades qu'il fallait. Ce match est dans la lignée de ce qu'on a fait depuis début de la Coupe du monde.»
Dans une véritable étuve (28 degrés mais surtout 88% d'humidité), les hommes de Didier Deschamps n'ont jamais paru en mesure d'inquiéter une Mannschaft qui a ouvert le score sur coup de pied arrêté par Hummels (13e) plus prompt que Varane à récupérer de la tête un coup franc.
Les hommes de Löw se sont ensuite contentés de gérer tranquillement une avance au tableau d'affichage.
C'est le mot de frustration qui reviendra sans doute le plus dans les bouches des coéquipiers d'Hugo Lloris après cette rencontre. Les Bleus terminent leur Mondial sur une fausse note mais la marche semblait toutefois trop haute pour une équipe arrivée au Brésil sans trop de repères mais qui a su fédérer autour d'elle un véritable capital sympathie au fur et à mesure de son parcours brésilien.
Les larmes de Griezmann
Les larmes du jeune Griezmann, symbole de la prise de pouvoir de la jeunesse en équipe de France, montrent que les Bleus pensaient jouer un vilain tour à un des favoris de la compétition. «Dommage de s'arrêter en chemin», a déploré Valbuena très affecté par la défaite.
« On fait ce qu'il fallait pour les bousculer et l'Allemagne qui a plus d'expérience que nous a bien géré son avance d'un but, a pourtant assuré Didier Deschamps au micro de TF1. On a tout tenté jusqu'à la dernière occasion de Karim (Benzema). On n'est pas passé loin. On ne s'attendait pas un match facile. Neuer a fait les parades qu'il fallait. Ce match est dans la lignée de ce qu'on a fait depuis début de la Coupe du monde.»
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