Où sont libres parleurs au forum des torcols
Où sont merles moqueurs des belles tragédies
Où sont magots railleurs aux barbes des blancs cols
Où sont génies farceurs des saintes parodies
Où sont veilleurs d’esprit dépurés de pétrole
Où sont déconstructeurs d’imprenables bastilles
Où sont maîtres-penseurs délivrés du contrôle
Où sont débroussailleurs d’impossibles tortilles
Où sont fous de sagesse aux marges du délire
Où sont pisteurs de sens au temps des catastrophes
Où sont forgeurs d’idées au creux des tirelires
Dans ce monde improbable où sont les philosophes
(c) Mustapha Saha
Où sont merles moqueurs des belles tragédies
Où sont magots railleurs aux barbes des blancs cols
Où sont génies farceurs des saintes parodies
Où sont veilleurs d’esprit dépurés de pétrole
Où sont déconstructeurs d’imprenables bastilles
Où sont maîtres-penseurs délivrés du contrôle
Où sont débroussailleurs d’impossibles tortilles
Où sont fous de sagesse aux marges du délire
Où sont pisteurs de sens au temps des catastrophes
Où sont forgeurs d’idées au creux des tirelires
Dans ce monde improbable où sont les philosophes
(c) Mustapha Saha
"Cher Mustapha,
Je suis très envoûté par la beauté de tes alexandrins. J'ai été profondément sensible notamment à l'Arpenteur lui-même, Isadora Duncan, Trouville en hiver, le Temps des barricades.
Tu es le Leonard de Vinci du Maghreb. J'apprécie particulièrement ta poésie. Tu as rajeuni le vieil alexandrin en lui insufflant ta vision transfiguratrice.Tu lui as donné une musique forte et un pouvoir évocateur extraordinaire; Merci pour ce beau recueil. Bravo et bien à toi. EM."