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Des scientifiques de l’Université de Stockholm sont parvenus, à la suite de plusieurs années de recherches, à la conclusion que chaque mois qui passe réduirait l'espérance de vie d'environ 30 jours. Une étude qui met à mal le temps qui passe, jusqu’ici considéré comme non nocif pour la santé.

Pour en arriver à ce chiffre, les chercheurs ont analysé les vies d'un millier d'individus, fumeurs, non fumeurs, en bonne santé ou atteints de maladies chroniques. Ils ont ensuite recoupé les données et ont constaté avec surprise, que pour chaque individu, le résultat est le même : un mois réduit formellement de 30 jours l’espérance de vie.

Mais ce n’est pas tout, en recoupant les données, l’étude a révélé que chaque 365 jours qui passe enlèverait 1 année d’espérance de vie, et que chaque dizaine d’années réduirait l'existence de quasiment une décennie. Le temps qui passe serait alors plus nocif pour la santé que l’amiante, l’uranium, ou le cancer.

Enfin le rapport n’offre pour l’heure aucune solution pour endiguer le temps qui passe comme l’explique l'équipe de chercheurs qui a dirigé l’étude Suédoise : “Maîtriser l’espace-temps est une opération extrêmement complexe qui nécessite un accélérateur de particules comme celui du CNRS ou une Delorean comme dans Retour vers le futur”explique les scientifiques.
“En l’absence d’une telle technologie, la meilleure solution est encore de profiter au maximum de chaque heure qui passe”. 
Source : Legorafi / *Tous les articles publiés par LeGorafi sont pure fiction (jusqu’à preuve du contraire) et rédigés dans un but humoristique. L’utilisation de noms de personnalités ou d’entreprises est ici à but purement satirique. 




 
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