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Le 18 mars, la Chine expulse plusieurs journalistes américains, la quasi-totalité des reporters du « New York Times », du « Wall Street Journal » et du « Washington Post » sont concernés. Le 18 février, l'USA avait annoncé que l’agence Chine nouvelle, la télévision CGTN, Radio Chine internationale et les journaux China Daily et Le Quotidien du peuple seraient désormais considérés comme des missions diplomatiques, et non plus comme des médias, par le département d’Etat.

La rivalité entre Pékin et Washington vient de faire de nouvelles victimes : les journalistes américains basés en Chine. Mercredi 18 mars, le ministère chinois des affaires étrangères a donné dix jours aux reporters travaillant dans le pays pour le New York Times, le Wall Street Journal et le Washington Post, « dont la carte de presse expire en 2020 », pour rendre celle-ci. « Ils ne seront plus autorisés à travailler comme journalistes en République populaire de Chine, y compris dans les régions administratives spéciales de Hongkong et de Macao », annonce le communiqué du ministère.

Le 18 février, l’administration américaine avait annoncé que l’agence Chine nouvelle, la télévision CGTN, Radio Chine internationale et les journaux China Daily et Le Quotidien du peuple seraient désormais considérés comme des missions diplomatiques, et non plus comme des médias, par le département d’Etat. Le 2 mars, il avait été précisé que ces organes « de propagande » ne pourraient plus employer que 100 ressortissants chinois au maximum, à partir du 13 mars, contre 160 fin février.

Une « mentalité de guerre froide »






 
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