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Si je vous avais dit il y a trois mois que vous seriez aujourd’hui enfermé chez vous, que les rues seraient désertes, que tous les magasins seraient fermés, que des mesures sanitaires d’urgences seraient prises dans de nombreux pays, que la finance serait au bord de la débandade, m’auriez-vous cru? Les choses vont rapidement. N’allez pas croire que c’est terminé. 

Serrez les vires-vents, fermez les volets et barrez les portes, ça va mal et nous en aurons pour un bout. Achetez ce que vous avez à acheter pour quatre à huit semaines d’isolement total et puisque vous y serez songez à l’après, car l’emploi risque de souffrir lourdement. Dès que quelques cas se présentent dans votre localité, vous allez chercher vos vieux à l’hospice et vous fermez tout. Plus de contact avec l’extérieur. 

« Qu’est que c’est le moment de grâce? »
 C’est le retrait de la mer qui précède le tsunami, le moment ou tous regardent, fascinés par ce qu’ils voient, en poussant des Oh! et des Ah!, et ne réalisent pas ce qui s’approche derrière. Ne serait-ce que cette pandémie, il y aura devant nous des moments d’étonnements précédant de grands évènements, qui seront des moments de grâce, des opportunités dont il faudra profiter. 

« de Châtillon n’a jamais tort! Il n’a pas encore tout à fait raison. »
J’ai fait erreur dans mon interprétation de l’échelle de temps du plan humain du Main Mall et ça grince. Je ne pouvais vous faire face avec ça, c’est la raison pour laquelle j’ai affiché ça sur mon site pendant que vous ne regardiez pas. - Nous ne sommes pas encore sur la verge de cet effondrement. Il faudra auparavant compter sur une réduction de la population atteignant 70% qui se déroulera sur les cinq prochaines années. La vague du coronavirus actuelle est une de cinq, la plus légère, la prochaine vague dans cinq mois sera la plus mortelle de toutes. Beaucoup plus mortelle. Elle seule va réduire la population de moitié. Les suivantes seront des peccadilles. Suivant cette période, l’effondrement se produira en 18 mois. 

« Je me souviens vaguement d'images d'ancien temps où on voyait des gens ordinaires de tous âges qui déambulaient nonchalamment dans les rues, il y en avait d'autres qui se déplaçaient dans des voitures mobiles qu'ils conduisaient eux-mêmes et allaient où bon leur semblait. Il y avait de grands magasins où les gens pouvaient acheter même avec de l'argent tout ce qu'ils voulaient. On pouvait aussi voir ces gens de tous âges au même endroit qui discutaient entre eux. Tous ces gens pouvaient aussi manger et même s'amuser et rire ensemble, il y avait même des enfants qui jouaient avec des vieillards dans des parcs. Je ne sais plus très bien si ces vagues souvenirs sont réels ou si ce n'était qu'un rêve. Bof!, je crois que je me fais vieux... » 

Il y a de l’anxiété dans l’air chez moi! Lorsque j’ai voulu la calmer cette anxiété, elle s’est mise à crier et j’ai dû la détacher. Elle ne m’a pas fait à souper, je crois qu’elle m’en veut encore, 

Le PM du Manitoba nous parle de la vigueur de ses concitoyens, qui n’ont que 21 cas de coronavirus dans sa province. – Ah pour être vigoureux, ils sont vigoureux ces 2000 Manitobains. Manitoba est un mot inuit qui se traduit par « champ désert à perte de vue que tous meurent en traversant ». Même le virus était désemparé d’avoir à passer à cet endroit-là. En Algonquin, ça signifie « espace entre l’est et l’ouest. », mais c’est le « anito » qui est incertain en linguistique, ça pourrait-être aussi « chemin qui mène ailleurs » ou « N’entrez pas ici sans motifs au risque de votre vie » ou encore « Vancouver 2000 kilomètres» - Winnipeg aussi n’est pas simple à traduire, mais il semble que ce soit un nom d’endroit, quelque chose comme Valkenvania.




 
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