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Début 2020, le virus de la Covid-19 se propage rapidement dans tous les pays du monde. Mais pas partout de la même façon...Il semble exister une exception « Française d'Origine Contrôlée par l'Union Européenne », dont l'acronyme laisse entrevoir la façon dont le gouvernement traite cette pandémie.

Dans les couloirs de l'Élysée et de Matignon, les dirigeants de groupes terroristes ont ainsi cédé la place au virus. Nostalgie de son ancien boulot à la Rothschild & Compagnie, dans lequel Emmanuel Macron s'efforçait, selon son propos, de « séduire un peu comme une prostituée » ? Toujours est-il que le président s'entiche de ce nouveau tueur qui paralyse pourtant l'économie de son pays. Mais que cache ce racolage médiatique ? Dans « Le virus et le Président », co-écrit par le journaliste d'investigation Jean-Loup IZAMBERT et l'écrivain Claude JANVIER, vous plongez dans une enquête sur l'une des plus grandes tromperies contemporaines organisées par un pouvoir politique, main dans la main avec les dirigeants de l'Union « européenne » et les grands propriétaires privés de la finance et de l'économie. Un document indispensable pour comprendre la nature réelle de la crise ainsi que les enjeux d'aujourd'hui et de demain. 

Préambule : 
Au moment où ces lignes sont écrites, le jeudi 15 octobre 2020 en matinée, plusieurs perquisitions sont menées aux domiciles et bureaux de personnalités politiques, des ministres et ex-ministres ou représentants de l’État, qui ont été ou sont impliquées dans la gestion de la crise liée à la Covid-19 : l’ancien Premier ministre, maire du Havre, Édouard Philippe, le ministre de la Santé, Olivier Véran, l’ancienne ministre de la Santé, Agnès Buzyn, et l’ancienne porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye. […] 

[…] Une information judiciaire a été ouverte en juillet 2020 pour « abstention de combattre un sinistre ». Elle s’appuie sur l’article 223-7 du Code pénal : « Quiconque s’abstient volontairement de prendre ou de provoquer les mesures permettant, sans risque pour lui ou pour les tiers, de combattre un sinistre de nature à créer un danger pour la sécurité des personnes est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30.000 € d’amende ». 

[…] Depuis le début de la crise sanitaire, près d’une centaine de plaintes contre des ministres ont été adressées à la CJR. Parmi celles-ci figurent celles déposées par trois médecins membres du collectif C-19, collectif soutenu par plus de 600 membres des personnels de santé et représenté par maître Fabrice Di Vizio. Ne préjugeons pas des décisions de la CJR et respectons le principe de la présomption d’innocence trop souvent mis à mal. 

Mais, si selon l’article 68-1 de la Constitution de la Vème République, « les membres du gouvernement sont pénalement responsables des actes accomplis dans l’exercice de leurs fonctions et qualifiés de crimes ou délits au moment où ils ont été commis » et « sont jugés par la Cour de justice de la République », l’histoire enseigne pourtant que celle-ci ne fut pas particulièrement sévère dans ses verdicts contre des ministres mis en cause dans différentes affaires. La clémence de décisions peu convaincantes de plusieurs d’entre elles […] 

[…] L’émoi du petit monde de la petite bourgeoisie parlementaire qui se plaint de « la judiciarisation de la vie politique » tient visiblement plus aux découvertes que pourraient bien faire les enquêteurs lors de leurs investigations qu’au verdict que rendra la CJR. Nous pourrions presque parier que celui-ci se résumera en une phrase : « responsables, mais pas coupables ». […] 

[…] Très curieusement, le président Emmanuel Macron, qui siège au Conseil « européen » et fait appliquer à la France les décisions du Conseil de l’Union « européenne » et de la Commission « européenne », n’est pas mis en cause. Or, en faisant organiser la réduction des services et des dépenses de santé publique au profit de grandes sociétés privées alors que la demande de soins est de plus en plus criante et urgente – qui plus est, en pleine crise sanitaire –, il est l’un des principaux responsables de ces décisions politiques qui mettent en danger la vie de millions de Français. […] 

[…] Par cette enquête sur les « assassins financiers » et leurs protecteurs au pouvoir qui détruisent tous les fondements de notre protection sociale et dissolvent les liens qui nous permettent de faire société en tuant l’emploi salarié, nous apportons de nouveaux éléments nécessaires à la manifestation de la vérité. […] 

Jean-Loup Izambert & Claude Janvier 
Octobre 2020 
Le virus et le président - enquête sur l'une des plus grandes tromperies de l'histoire 
Co-écrit par Jean-Loup Izambert et Claude Janvier 
272 pages au prix de vente 20 € 









 
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