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Depuis plusieurs années, les comploteurs de Bruxelles et de New-York fomentent un plan secret de fichage de toute la population.

L’un des piliers de cette machination est le contrôle des médias. C’est vieux comme le monde. Croyant maîtriser parfaitement ceux-ci, nos comploteurs se sont lancés dans un plan audacieux d’asservissement global :
  • apeurer les peuples par une pandémie plus médiatique que réelle,
  • les conduire à se faire vacciner, tous, petits et grands,
  • mettre en place un passeport dit « sanitaire », dénommé « pass vert » pour mieux faire passer la pilule,
  • transformer ce « pass vert » en outil de traçage et de contrôle des déplacements de populations entières.
Ce plan qui est dénoncé depuis son origine, requiert des complicités parmi tous les acteurs sociaux : élus, médias, syndicats, partis politiques, etc. L’anathème est lancé sur tous ceux qui s’aventurent à dénoncer ce plan : ce sont des complotistes, comprendre « imbéciles, gogos, arriérés, amisch (selon l’expression même d’Emmanuel Macron), etc. » Bref des Gilets Jaunes de droite comme cet adepte de la violence qui a brutalement frappé le Président de la République au visage.
Et puis patatras ! Ce plan capote.

Le Sénat américain vient de dénoncer cette manipulation. Et ce n’est pas rien, le Sénat américain. Ça pèse un peu plus lourd que le Palais Bourbon. La sénatrice Marsha Blackburn, entourée des sénateurs Mike Braun, Roger Marshall, Ron Johnson et Roger Wicker.


Extrait de l’intervention du sénateur Roger Marshall :
Mais le résultat de ce quart de siècle, a été qu’il a permis à une poignée, de grandes plateformes technologiques d’Internet, de devenir extrêmement grandes, extrêmement riches et extrêmement puissantes, au point, qu’ils décident quelles sont les nouvelles, ils décident de quelles informations le public va obtenir et quelles informations vont être bloquées. […]
Google a menacé de couper plusieurs sites Web conservateurs, y compris les fédéralistes, comment ont-ils le pouvoir de le faire ? Comment peuvent-ils justifier de faire cela ? Les entreprises restreignent ou résilient les utilisateurs, les comptes et les contenus conservateurs sur les réseaux sociaux.
Facebook a annoncé la suspension, du compte d’un ancien président des États-Unis, c’est trop de pouvoir, ils peuvent décider qui peut et qui ne peut pas faire l’actualité et être cité.
Twitter a censuré toute information sur le coronavirus, qu’ils pensaient, à leur avis pouvoir provoquer une panique généralisée.
GAFWAM ↔ Fauci ↔ Jean-François Delfraissy ↔ Conseil scientifique ↔ Gouvernement
Le patron de Facebook à sa sortie de l’Élysée, le 10 mai 2019

L’enquête en cours aux États-Unis montre qu’Anthony Fauci, le grand gourou des mesures sanitaires prises par la Maison Blanche, était en contact direct avec Jean-François Delfraissy, membre du conseil scientifique, qui à son tour donnait ses consignes au gouvernement français. Des échanges de messages avec le Dr Fauci montrent que c’est à lui que l’on doit, par exemple, l’interdiction de l’hydroxychloroquine, les mesures de confinement et le port du masque partout et pour tous. Or le Dr Fauci était en étroite relation et au plus haut niveau avec les dirigeants des GAFAM : Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft, auxquels il convient d’ajouter à présent Wikipedia.

Le site Wikipedia prend toute sa place dans le formatage des esprits…

Puisque ce site « de référence » participe à la censure des déviants du Système. Exemple avec le Dr Alexandra Henrion-Caude :
Ainsi donc Alexandra Henrion-Caude, généticienne et spécialiste des microARN, lauréate du très prestigieux titre de Eisenhower Fellow, n’est plus une chercheuse de renommée internationale dès qu’elle a critiqué le narratif imposé par les GAFWAM (nous y avons ajouté le W pour Wikipedia). C’est inouï et cela nous rappelle, hélas, les heures les plus sombres de l’Histoire.
Pourtant cette période sombre semble s’éclaircir avec cette intervention des sénateurs américains et les procès en vue à l’encontre du Dr Anthony Fauci. L’enquête en cours ne s’arrêtera plus. Bien sûr, nous y reviendrons.





 
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