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Tweet de Marc Doyer : « Tweet supprimé 2 fois, je publie à nouveau témoignage du jour. Nouveau cas maladie vache folle. Belgique. Le neurologue fait lien avec Pfizer. Alerte info médias français. Réveillez-vous, le scandale arrive. 

Lettre ouverte de la fille d'une victime du vaccin Pfizer : 
« Bonjour, 
Comme promis, voici un résumé de ce qui est arrivé à mon pauvre papa. 
Le 8 avril dernier, mon papa, 69 ans (à qui l'on attribuait facilement 10 ans de moins) et en excellente santé tant physique que mentale, a reçu sa 1ère dose de Pfizer. Ce sera la seule qu'il aura. Dès le lendemain, il se plaindra d'un mal-être général et présentera des bleus énormes sur le cou et sur le thorax. Dans les jours qui suivront , il développera des symptômes neurologiques tels qu'une baisse de l'acuité visuelle, une tension artérielle trop élevée, une certaine désorientation et une difficulté d'élocution. Ces symptômes l'ont conduit à l'hôpital où une IRM cérébrale a révélé une encéphalite ou inflammation du cerveau. Les médecins disaient ne pas comprendre l'origine de celle-ci. Il fallait donc déterminer si cette encéphalite était virale, bactérienne,auto-immune, tumorale ou post- vaccinale. Ils ont lui ont fait passer tous les examens possibles et inimaginables : mon papa n'avait rien d'autre pouvant expliquer son état : tous les résultats revenaient négatifs . Enfin, une ponction lombaire a permis d'établir cet odieux diagnostic : une maladie à prions plus communément appelée maladie de Creutzfeld Jacob . Il n'y avait plus rien à faire, aucun traitement n'existant pour ce type de maladie. J'ai entrepris quantité de démarches en Europe et dans le monde entier pour tenter d'avoir un traitement en essai clinique( notamment la doxycycline) En vain. Quand ma famille et moi avons établi un lien entre les symptômes de mon papa et l'injection du vaccin, les médecins ont affirmé qu'il n'y avait pas de lien de cause à effets, qu'il s'agissait d'un cas fortuit. Je n'ai jamais été convaincue car la concomitance des 1 ers symptômes et la date de la dose du vaccin ne pouvait être le fruit du hasard. Papa n'avait jamais eu de problème neurologique jusque-là. 

Lors du diagnostic, on nous avait annoncé une espérance de vie de 6 à 8 mois. Mon papa est décédé 32 jours après son hospitalisation, le 14 juin dernier. Cette détérioration fulgurante conduisant à la mort, j'en suis désormais convaincue, c’est le résultat d'une gestion épouvantable de l'équipe neurologique de l'hôpital, décidée à imputer(sans succès, tous les résultats s'avérant les uns après les autres, négatifs) la maladie à une cause auto-immune et ce, afin que l'on n'incrimine pas le vaccin. Ces médecins ont administré à mon papa des traitements lourds (corticoïdes medrol- en one -shot et immunoglobuline) contre notre avis(en effet, nous savions pertinemment que mon papa était intolérant à ces substances) et « à l'aveugle » ,alors que nous attendions toujours les résultats de la ponction lombaire. Les effets délétères ont été immédiats : la dégradation de son état a été fulgurante jusqu'à son décès le 14 juin. 

Après 4 mois, une neurologue (d'un autre hôpital)ayant pris mon papa en charge à la fin de son parcours, nous a contactés pour nous dire qu'elle avait signalé le cas à l'agence fédérale belge des médicaments et qu'elle ferait de même avec l'agence européenne des médicaments. Elle leur demande de faire le lien entre le Creutzfeld Jacob et le vaccin Pfizer. 

Je souhaite pour l'instant que le nom de mon papa ne soit pas cité car j'ai entamé une procédure destinée à établir s'il y a une responsabilité personnelle ou non de l'hôpital dans le drame qui a brisé nos vies. J'ai d'ailleurs introduit une demande à la FAM (Fonds des accidents médicaux) de l'Inami. Ma demande a été jugée recevable en septembre et, dans un délai de 6 mois, il sera établi s'il y a eu un accident thérapeutique avec responsabilité(s) personnelle (s) ou non. 

Néanmoins, il est fondamental que l'on sache que ces vaccins à ARN sont susceptibles d'engendrer des maladies neurologiques gravissimes telles que l'encéphalite à prions. Le docteur Luc Montagnier en a fait d'ailleurs état lors d'une interview. 

Je vous joins une copie du mail de la neurologue qui a décidé de signaler le cas de mon papa. 
Si vous le souhaitez, je peux vous envoyer un rapport complet que j'ai rédigé, initialement destiné à l'Hôpital et puis remanié pour être adressé à la FAM. 
Je dispose également du dossier médical complet de mon papa, si nécessaire. 
Très cordialement,




 

 
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