Le rachat de « Arena Pharmaceuticals » pour 6,7 milliards de dollars par le géant Pfizer, a été annoncé fièrement par les grands médias mi-décembre 2021. En se penchant sur la valeur réelle d’Arena, on s’aperçoit vite que ce laboratoire n'a réalisé en 2020, qu'un chiffre d'affaires de 306.000 dollars (avec une perte de 404 millions de dollars). Et pourtant, Pfizer investit plusieurs milliards de dollars pour l’acquisition de cette société. Pourquoi ? La raison parait évidente quand on regarde de plus près les nombreux effets secondaires causés par les « vaccins » Pfizer.
Arena Pharmaceuticals est spécialiste dans la thérapie de plusieurs maladies immuno-inflammatoires en gastro-entérologie, en dermatologie et en cardiologie. Pfizer est le grand gagnant puisqu’il est à la fois Pyromane et Pompier. Il introduit dans le marché des injections qui causent des maladies graves, et en même temps, il vend des remèdes pour ces nouvelles maladies causées par ses propres vaccins. Le Jackpot !!!
@axelvalery Le rachat d'Arena Pharmaceuticals m'intrigue ... #covid #covid19 #pfizer #arenapharma #remede #nonalavaccinationobligatoire #conflitsdinterets ♬ Sunset Lover - Petit Biscuit
A la date du 13 décembre 2021, cette info circulait dans les médias sponsorisés par l’État : Pfizer a annoncé lundi l'acquisition, pour 6,7 milliards de dollars, du laboratoire Arena Pharmaceuticals, qui développe plusieurs traitements contre des maladies inflammatoires auto-immunes. Fondé en 1997 et situé à San Diego (Californie), Arena a été introduit en Bourse en 2000. Il est spécialisé dans le développement de médicaments. En 2020, il n'a ainsi réalisé qu'un chiffre d'affaires de 306.000 dollars (avec une perte de 404 millions de dollars), contre 806 millions lors de l'exercice précédent grâce principalement à la vente des droits sur un médicament contre l'hypertension artérielle pulmonaire à United Therapeutics. Le laboratoire compte actuellement sur un traitement contre la rectocolite hémorragique, maladie inflammatoire chronique du gros intestin et du rectum, en phase 3 d'études cliniques, la dernière avant la soumission d'une demande d'autorisation de mise sur le marché. Arena prépare aussi la phase 3 (qui compare l'efficacité du traitement à celle des médicaments déjà sur le marché) d'un traitement contre la dermatite atopique, aussi appelée eczéma atopique, qui est une maladie chronique inflammatoire de la peau. Pfizer s'intéresse également à l'etrasimod, un médicament à prise orale contre plusieurs maladies inflammatoires auto-immunes. «Nous prévoyons d'accélérer le développement d'etrasimod» en allouant à ce traitement des moyens supplémentaires, a indiqué, dans un communiqué, le président de la division inflammation et immunologie de Pfizer, Mike Gladstone.
La vidéo, ci-dessous, explique les effets graves causés par les injections arn dans un corps humain
Histoire officielle du géant Pfizer
L’histoire du succès de Pfizer commence dans un quartier de New York, à Brooklyn. C’est là que deux jeunes émigrants de Ludwigsburg (Allemagne) fondent en 1849 une entreprise de chimie fine avec les 2500 dollars qu’ils viennent d’emprunter. L’un d’eux est pharmacien et s’appelle Karl Pfizer. L’autre, son cousin, est commerçant et pâtissier ; il se nomme Karl Erhart. A ses débuts, l’entreprise fabrique principalement des produits chimiques bruts pour l’industrie pharmaceutique et l’industrie alimentaire. À l’époque, en cas d’infection par des vers, on utilise couramment la santonine, un produit efficace. Mais ce vermifuge a un goût infect. Karl Erhart, ancien confiseur, a alors une idée : il donne à la santonine que personne n’aime un bon goût d’amande, la forme d’un bonbon exquis et la « nouvelle santonine » fait fureur ! Il n’en faut pas plus pour consolider la situation financière de l’entreprise. Lorsqu’Abraham Lincoln est élu président des États-Unis, les États du Sud se retirent de l’Union et la guerre de Sécession éclate. Pfizer fournit à l’armée des États du Nord de l’iode, du chloroforme, du camphre, des analgésiques et des désinfectants. Les bénéfices sont considérables et permettent l’expansion de l’entreprise. La création de filiales dans toute l’Amérique et de la succursale indépendante de Chicago constitue une autre avancée majeure. Avec la fondation de Pfizer International, l’entreprise implante ses premières succursales à l’étranger. Cette expansion internationale considérable comprend l’établissement de filiales de Pfizer en Belgique, au Brésil, au Canada, à Cuba, en Angleterre, au Mexique, au Panama et à Porto Rico. John «Jack» Powers Jr, qui est alors l’assistant de John McKeen, président de Pfizer, donne pour instruction à ses équipes internationales d’observer l’économie locale, d’établir de bons contacts avec les fonctionnaires, d’assimiler la langue, l’histoire ainsi que les coutumes, et d’embaucher des employés locaux dans la mesure du possible.
Côté obscur de Pfizer !
AFP (2009) - Le groupe pharmaceutique américain Pfizer, fabricant du Viagra, a accepté de payer une amende record de 2,3 milliards de dollars pour solder une plainte sur ses pratiques commerciales, ont annoncé mercredi les parties prenantes. Il s'agit "de la plus grosse amende jamais infligée par la justice américaine dans le secteur de la santé", a souligné le ministère de la Justice dans un communiqué, alors que l'administration Obama cherche à lutter contre la fraude et à réduire le coût astronomique de la santé aux Etats-Unis.
Pzifer, la société pharmaceutique célèbre pour avoir découvert et fabriqué, en un temps record, l’un des principaux vaccins contre le Covid-19, est aussi l’entreprise la plus condamnée au monde dans le domaine de la santé. C’est ce qu’affirme le conférencier et essayiste Idriss Aberkane, dans une vidéo largement consultée (« Pfizer, une entreprise qui vous veut du bien »), qui revient sur « le passif judiciaire abominable » du géant américain :