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Les lectrices et lecteurs réguliers de ce blog savent déjà combien, de mois en mois et comme d’autres bien sûr, il aura constitué un espace de réflexion et même d’aventures intellectuelles. J’ai eu l’inspiration d’y publier beaucoup, mettant à profit mes différents ordres d’expertise patiemment acquis au long de trente années de travail et d’enseignement en santé publique. Mais aussi avec le privilège d’y accueillir une foule impressionnante de beaux esprits, certains parmi les tout meilleurs de leurs domaines – sous les quolibets disgracieux d’une certaine clique pseudo-zététique (des comiques sans le savoir – les pires !)

Dans son dernier point hebdomadaire (dont je conseille le visionnement à tout le monde tant il constitue une nouvelle leçon de science), le Pr Didier Raoult s’exclame « Arrêtons de prendre les experts pour des imbéciles ! » à quoi on pourrait ajouter symétriquement « arrêtons de prendre autant d’imbéciles pour des experts ! »

Il est vrai que le mal est diablement répandu par les temps qui courent, y compris au sein de certains cercles dits scientifiques. Mais qui ne le sont en réalité pas : il y a ainsi aujourd’hui toute une caste de « politiciens de la science » qui sont au domaine du savoir ce que d’aucuns sont à celui des affaires publiques : des affairistes et des gredins, et surtout des ignorants.

La « Task Force scientifique » en Suisse par exemple est un comité qui s’est co-opté (si, si ! la preuve figure dans la référence infra) puis imposée au gouvernement, lequel n’est, de notoriété publique, que l’exécutant de Big Pharma dans ce petit pays vert mais chimique dont les labos constituent la plus puissante industrie, bien avant les banques !

Or ces guignols -en blouse blanche ou non- n’ont fait (c’en est impressionnant) depuis deux ans qu’un mélange de bouillie pour chats et d’anti-science. Au service évident d’intérêts bien autres que ceux de la population… ce qui n’empêche pas le grand concert des dupes (politiciens et gouvernants, médias, « communauté « scientifique » », hôpitaux universitaires et sociétés de médecine) de faire semblant (ou même pour les plus imbéciles) de croire à leur docte expertise là où il ne s’agit que de lampistes au service de la publicité mensongère et du lobbying crapuleux des mafias pharmaceutiques.

Je sais, ces propos ne feront pas avancer la cause de ma réhabilitation dans ma petite patrie. Mais l’histoire y viendra tôt ou tard, donc autant travailler pour le long terme, même si c’est moins lucratif et reposant dans l’immédiat…

Si donc on s’éloigne de ces cercles boufonnants et imbus de leur propre prestige sssccccientifffikkkkk, on tombe sur quelques espaces de réflexion et de liberté, dont mon modeste blog. Lequel donc propose des miennes analyses (qui peuvent évidement déplaire ou être de bonne foi contestées) tout en accueillant régulièrement de vraies pointures qui font de la science digne de ce nom et non de la vénale esbroufe.

A côté donc de noms prestigieux (comme Michel Maffesoli, Laurent Toubiana, Martin Kulldorff, Ariane Bilheran, Vincent Pavan, Hélène Banoun, Frédéric Badel, Carter Newton, Michel Rosenzweig, Alexandra Henrion Caude, Christian Perronne, Jacques Pollini, Laurent Mucchielli et tant d’autres que je m’excuse de ne pas citer), j’ai eu aussi l’occasion d’accueillir quelques contributeurs anonymes.

L’un d’entre eux m’a marqué par la qualité scientifiquement exceptionnelle de ses contributions. Les deux articles que j’ai publiés de lui était d’un niveau supposant à coup sûr une sacrée pointure. Quoi qu’il s’en soit défendu, je n’avais pas de doute à ce sujet.

D’abord parce que si je ne suis pas moi-même un scientifique (je partage la conviction de Michel Maffesoli que l’anthropologie est une connaissance et non une science pour un ensemble de raisons épistémologiques un peu trop complexes pour être résumées ici), il se trouve qu’au bout de 30 ans de métier je sais assez bien lire et comprendre la science. Bien mieux à vrai dire que les journalistes scientifiques (ce qui n’est pas difficile au vu du niveau actuel de la corporation) ainsi que de l’immense majorité des médecins -qui ne sont pas non plus des scientifiques mais de plus ne sont pas outillés pour lire et comprendre la science. Ils se contentent (sauf pour ceux qui ont eux-mêmes fait de la recherche) de lire les titres et les résumés. Ce qui est bien pratique pour Big Pharma depuis que les « chercheurs » qu’elle engage ne se fatiguent même plus à faire coïncider le contenu des articles avec les résumés et titres dithyrambiques (comme par exemple sur l’efficacité exceptionnelle mais en réalité selon les données elles-mêmes parfaitement bidon de certains pseudo-vaccins…)

Pour revenir à notre auteur, la qualité exceptionnelle de ses articles m’a sauté au visage, confirmée accessoirement par le plus grand bien que m’en ont dit mes collègues mathématiciens et statisticiens du Conseil scientifique indépendant.

Ne s’étant adressé à moi que par mail et sous pseudonyme, mon correspondant acheva de m’intriguer en m’adressant au mois d’octobre je crois un texte du même acabit…. abordant sous le prisme d’une anthropologie et philosophie politique la vision du monde nécessaire au traitement de la crise telle que réalisée par nos gouvernements et autorités de santé.

Le texte est tellement fort que je ne l’ai pas encore publié, ayant évalué qu’il serait trop déroutant alors que des enjeux politiques (passant en Suisse par des votations référendaires et ailleurs par des débats parlementaires) se profilaient. Mais ce sera pour bientôt !

En attendant, donc, j’ai reçu ce nouveau morceau de bravoure.

Et ai appris au passage de sa plume que mon auteur est en effet (évidemment) Dr ès Sciences. Ce qui ne veut pas forcément tout dire : certains gredins de la Task Force ont aussi ce titre ! Il y a donc Dr ès Sciences et Dr ès Sciences.

Mais là, nous avons affaire à un Dr ès Sciences de chez Dr ès Sciences !

Et quand un Dr ès Sciences fait son travail avec cœur, esprit, intégrité ainsi (carrément) qu’une forme de génie, eh bien en effet ça dépote !

Pour finir cette introduction, l’auteur m’a fort aimablement autorisé à révéler son identité, qu’il m’a révélée récemment. Ayant pris l’habitude de le connaître en tant qu’Eusèbe Rioché, je fais encore un peu durer le plaisir. Mais comme il a eu la prévenance de faire figure son mail en tête d’article, il est possible de le contacter.

En le remerciant chaleureusement pour sa confiance et ses contributions stratosphériques, je partage avec gourmandise la dernière analyse qu’il a eu la générosité de m’adresser… « Enjoy » comme disent les Américains

Vaccination, piège à Covidés
par Eusèbe Rioché






 
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