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Le pass vaccinal, ce danger orwellien aux implications sociales dangereuses ! Nous sommes heureux de publier aujourd'hui une tribune rédigée par un étudiant canadien, Yassine Adrou, rappelant l'importance du combat pour la liberté face aux mesures liberticides adoptées pour combattre le COVID.
La pandémie a révélé un vivier d’experts en politiques publiques avec la crise sanitaire. Tant mieux. Tout citoyen se doit de participer, à sa mesure, au politique.

Un citoyen averti en vaut deux. Dès que mes doigts composent le terme ‘pass vaccinal’ sur Google, le moteur de recherche défile d’innombrables écrits, de sources diverses, mais dont le contenu et l’orientation manquent d’hétérogénéité. Les écrits favorables au pass vaccinal, politiquement corrects, sont les favoris des réseaux sociaux et autres médias grand public.

Le 1er Février 2022, le Danemark devenait le premier pays européen à annoncer la fin des restrictions sanitaires. Le port du masque n’est plus obligatoire, la distanciation sociale a laissé place à l’interaction humaine, l’exigence d’un pass pour prouver son état personnel de santé n’est plus obligatoire. En somme, le Covid-19 n’est plus considéré comme un danger de premier ordre. Depuis, différents pays, dont la Grande Bretagne, la France mais aussi plusieurs provinces canadiennes, ont rejoint le train du bon sens. 

Mesure controversée de cette pandémie, le passeport vaccinal, aussi nommé pass sanitaire ou autorisation immunitaire, est né sous la volonté publique d’accroître les efforts de vaccination, massifié via le climat de panique et l’effet drapeau provoqué par la crise Covid.

Pourtant, selon le professeur Granot de l’Université de Jérusalem, le pass vaccinal retarde l’immunité collective, qui seul moyen de se débarrasser des formes mortelles du virus. Il explique que nous devons aujourd’hui apprendre à vivre avec le Covid, en protégeant les plus fragiles et en laissant les autres faire leur vie, la vaccination ne protégeant pas contre Omicron et sa transmission. Quand la plupart des individus auront été contaminés, le Covid s’éteindra. En effet, depuis les allégements des restrictions du 14 Mars en France, les contaminations ont augmenté mais les hospitalisations ont baissé (cf: Santé publique France).

L’outil phare de cette pandémie, le pass vaccinal, allait donc devenir caduque. Heureusement, Albert Bourla est là! Le 13 Mars 2022, le PDG de Pfizer, tel un grand oracle antique, annonce l’arrivée imminente d’autres vagues de coronavirus, et donc, la nécessité d’une quatrième dose. Ce vétérinaire de formation, apeuré par la baisse des bénéfices causée par la dissipation médiatique du virus, détrôné par la guerre en Ukraine, semble s’être soudainement souvenu de l’approche de l’assemblée générale de son entreprise. 

Luc Montagnier, Didier Raoult, Robert Malone, Elon Musk, Joe Rogan… Parmi ces noms (respectivement): le prix Nobel de médecine 2008, le chercheur européen le plus cité dans le domaine des maladies infectieuses, l’inventeur du vaccin à ARN messager, l’homme le plus riche du monde et le podcasteur le plus écouté de la planète. Qu’ont-ils en commun? Ils sont tous contre le pass vaccinal. 

Position crédule et loufoque pour certains, voire dangereuse et complotiste pour d’autres, il n’en est pas moins que si l’un préfère la brutalité de la vérité à la délicatesse des mensonges, il est simple de voir que toute forme de pass vaccinal représente un danger orwellien aux implications sociales dangereuses. L’Homme, après des siècles de combat pour sa liberté, est en passe de passer du fameux’ Je pense, donc je suis’ au néologisme fataliste ‘Je pass, donc je suis.’

Cette coercion vaccinale aux contraintes liberticides a un effet contre-productif: elle stigmatise et divise la population en plus de décrédibiliser et de discréditer la vaccination. Regrettable, tant l’inoculation telle qu’initialement désignée par Pasteur, efficace, non politisée et non financiarisée, est un outil de santé publique qui a été utile à la médecine moderne.

D’ores et déjà, il a été observé que ce pass vaccinal, avec sa fidèle épée de Damoclès, le confinement, en astreignant l’individu, tue plus qu’il ne sauve, ou du moins, menace la santé mentale. Les morts par suicide ont explosé partout dans le monde et la condition psychologique des individus se dégrade drastiquement: Des études récentes menées par l’université américaine John Hopkins et par Clalit Health Services en Israel ont conclu que les confinements ont eu un impact psychiatrique dévastateur: Cette dernière a examiné 771 636 dossiers médicaux de résidents de Jérusalem, révélant que pendant les périodes de confinement et de pass vaccinal, le nombre de patients souffrant de troubles psychiatriques a augmenté de 60% par rapport à 2019, pour ne pas mentionner les augmentations de maladies cardio-vasculaires, de patients obèses, de patients fumeurs et de patients souffrant d’hypertension.

Le discours soutenant l’usage de quelconque forme d’identification vaccinale s’effondre de partout. Sauf chez les adeptes du narratif anxiogène qui, par habitude, continuent d’obéir aveuglément, car il est dur de sortir d’un état de soumission aussi internalisé en eux, comme le souligne la (tristement célèbre aujourd’hui) théorie de la dissonance cognitive.

Comme l’avait observé Molière, l’amour propre engage à se mentir soi-même, même si l’Homme est fondamentalement fervent de la liberté. Soyez comme l’arbre, changez vos feuilles, mais jamais vos racines. Changez vos opinions, mais jamais vos principes. 





 
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