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Partout dans le monde, des embaumeurs et des entrepreneurs de pompes funèbres se manifestent pour raconter comment l'état des restes humains a changé pour le pire depuis l'apparition des "vaccins" contre le coronavirus.
 

Debra Heine, du Minnesota Sun, rapporte que d'étranges caillots caoutchouteux ressemblant à des vers sont visibles dans les veines et les artères de corps décédés, entièrement vaccinés - ce que Richard Hirschman, entrepreneur de pompes funèbres et embaumeur de l'Alabama ayant plus de 20 ans d'expérience dans le domaine, dit n'avoir jamais vu avant la mi-2021 environ. Hirschman a récemment déclaré à Steve Kirsch, directeur exécutif du Vaccine Research Center (VRC), qu'en janvier 2022, 37 des 57 corps qu'il a traités, soit 65 %, présentaient ces caillots suspects.

Avant l'introduction des injections dans le cadre de l'opération Warp Speed, des caillots sanguins apparaissaient occasionnellement sur les corps décédés à cause du COVID-19, mais pas dans la mesure où ils apparaissent maintenant, depuis que les injections ont été largement administrées. Cary D. Watkins, qui a plus de 50 ans d'expérience en tant que directeur de pompes funèbres et embaumeur, a corroboré les observations de Hirschman, tout comme Anna Foster, une embaumeuse du Missouri ayant 11 ans d'expérience. 

Mme Foster a révélé dans une interview qu'un pourcentage choquant de 93 % de ses 30 derniers cas de décès était dû à des caillots sanguins inhabituels ayant complètement envahi le système vasculaire des victimes. Cela ressemble beaucoup aux dommages causés par les protéines de pointe induites par les vaccins qui, pour beaucoup, entraînent la mort.

Des cadavres entièrement vaccinés contiennent des caillots sanguins "blancs, fibreux et vermiformes".
De l'autre côté de l'étang, en Angleterre, le directeur de pompes funèbres John O'Looney dit qu'il constate une augmentation massive des décès par thrombose. Dans une interview, M. O'Looney a révélé qu'il ne s'agit pas seulement "d'une multiplication par deux ou trois, mais d'une augmentation de 500 ou 600 %". "J'ai des médecins et des policiers qui m'appellent, des infirmières qui m'appellent, tous disent la même chose. C'est un mensonge total", aurait-il dit. "Sur nos médias, ils disent que les hôpitaux sont pleins de non-vaccinés. C'est totalement faux. C'est tout le contraire. Neuf patients sur dix, remplis de caillots sanguins, sont des vaccinés. J'ai entendu ça de tellement de professionnels que je ne sais plus combien. Donc, que vous choisissiez de le croire ou non, ça ne rend pas la situation pire. C'est la vérité. C'est la réalité. Vous pouvez mener un cheval à l'eau, mais vous ne pouvez pas le faire boire." 

Au début, O'Looney n'était pas sûr de devoir se présenter. Comme tous ceux qui, dans son domaine, constatent la même chose, il reconnaît que les gouvernements et les médias mettent en avant un discours pro-jab et que tout ce qui s'y oppose sera moqué et ridiculisé. Dans le pire des cas, O'Looney et les autres pourraient perdre leur emploi pour avoir dit la vérité. Mais c'est un risque qu'ils ont finalement décidé de prendre dans l'intérêt de la santé publique. "Il doit s'agir d'un nouveau produit injectable, utilisé pour la première fois en 2021, qui entraîne la formation de caillots sanguins et est injecté à plus de 50 % de la population", a écrit M. Kirsch sur son Substack.
"Il n'y a qu'un seul médicament qui correspond à cette définition : les vaccins COVID." 
Il semble que certains lots d'injections soient plus toxiques que d'autres, ce qui expliquerait pourquoi certaines personnes ayant reçu les injections semblent aller très bien alors que d'autres souffrent ou sont mortes. Les personnes les plus touchées peuvent se retrouver avec de longs caillots sanguins qui se transforment en abominations blanches et fibreuses ressemblant à des "vers", a révélé Kirsch. "Ce truc blanc et fibreux n'est tout simplement pas normal", a déclaré le Dr Kirsch au Dr Jane Ruby. "En général, un caillot de sang est lisse - c'est du sang qui a coagulé - mais si vous le pressez, le touchez ou essayez de le ramasser, il se désagrège généralement. Mais ce truc blanc et fibreux est plutôt solide. Je ne sais pas comment quelqu'un peut vivre avec ça en lui." Pour vous tenir au courant des dernières nouvelles concernant les décès par piqûre de COVID, ne manquez pas de consulter Genocide.news. Les sources comprennent : TheMinnesotaSun.com NaturalNews.com





 
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