Dès le début de son ouvrage, l’auteur énumère un certain nombre de citations de personnalités donnant un éclairage particulièrement troublant quant à la compréhension des événements que nous vivons depuis la pseudo-crise sanitaire de 2020 jusqu’à la situation de potentielle pré-guerre mondiale survenue en février 2022.
« En cas de réincarnation, je souhaiterais revenir sous la forme d’un virus mortel » Prince Philip, duc D’Édimbourg, 1988.
« Il faut que la population mondiale se stabilise et pour cela il faudrait éliminer 350 000 hommes par jour. C’est tellement horrible à envisager que nous ne devrions même pas le dire… » Jacques Yves Cousteau, 1991, Le Courrier de l’UNESCO.
« Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards d’habitants… Si nous faisons un excellent travail sur de nouveaux vaccins, des soins de santé et des services de santé reproductive, nous pourrions peut-être réduire ce chiffre de 10 ou 15 % » Bill Gates, 2010.
« Nous assistons maintenant à la création d’une classe massive de personnes inutiles… alors la grande question politique et économique du XXIe siècle sera de savoir pour quelle raison avons-nous besoin des humains ? Ou du moins, pour quelle raison avons-nous besoin de tant d’humains ? » Yuval Noah Harari, en 2015, l’homme qui murmure à l’oreille de Klaus Schwab, président du Forum mondial de Davos.
En opposition à de tels points de vue dépopulationnistes nous découvrons la déclaration suivante :
« Il est absolument clair que le monde ne peut pas s’engager sur la voie de la construction d’une économie qui fonctionne pour un milliard de personnes, un « milliard doré ». C’est tout simplement une position destructrice. Un tel modèle est par définition non viable » Vladimir Vladimirovitch Poutine en 2021 au Forum économique mondial, Président de la Russie.
Ensuite l’auteur se propose d’apporter des éléments de réponse : à la convergence eugéniste des points de vue entre les plus riches et influents acteurs du philanthro-capitalisme : Bill Gates, Georges Soros, Ted Turner, Warren Buffet, Jeff Bezos ; des hommes d’influence comme Henry Kissinger, Klaus Schwab, David Rockfeller ; des membres de la famille royale britannique, le prince Philip, le prince Charles… à l’emploi potentiel de vaccins à d’autres fins que préventives ;
à la dissimulation possible dans les vaccins de technologie biologique à des fins de stérilisation…
Dans une étude très fouillée issue de la base de données Eudra Vigilance, on apprend qu’au 5 avril 2022, en Europe, à la suite des injections anti-covid sont comptabilisés 42 507 décès et 3 984 978 blessures dont l a m o i t i é s o n t g r a v e s ; p a s d e d é c o m p t e m a c a b r e journalier cette fois comme en 2020 !!
Le même phénomène de surmortalité est décrit aux USA, sur la base du VAERS.
En Israël, le docteur Vladimir Zelenko dénonçait, en août 2021, la dangerosité des injetions, la corruption pharmaceutique et l'hypothèse d'une arme biologique génocidaire.
Le docteur Michael Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer dénonce, comme le docteur Zelenko, les risques d’infertilité liés à ces produits expérimentaux.
Ainsi grâce à une action en justice de l’Organisation Public Health, un juge américain a obligé la FDA à dévoiler en huit mois la totalité des documents classifiés (des milliers) concernant les études liées aux « vaccins » au lieu des 75 années demandées. Cette accélération imposée de la divulgation des résultats permet de constater avec effroi que, par exemple après vérification minutieuse des analyses proposées par les laboratoires pharmaceutiques, la vaccination contre le covid, pendant la grossesse, se solde par la perte de l’enfant à environ 90 % (notamment en cas de vaccination au cours des 2 premiers trimestres de grossesse), ce que ne dit pas l’étude de manière frauduleuse !
Concernant la manipulation des données, voir la dernière capsule du Conseil Scientifique Indépendant du jeudi 11 août 2022, dans laquelle Pierre Chaillot, statisticien émérite, par une analyse minutieuse des données de vaccination fournies par
le gouvernement britannique conclut à une dangerosité des injections, dissimulée par un biais temporel de déclaration du statut des personnes inoculées. En France, les autorités (de manière scandaleuse) se refusent à dévoiler toutes les données des décès, du statut « vaccinal » des personnes décédées et les dates de leurs inoculations empêchant ainsi toute vérification par des instances indépendantes de leurs affirmations mensongères.
En 1996, des essais cliniques illégaux réalisés par Pfizer au Nigéria ont causé la mort de dizaines d'enfants. De même, des vaccinations contre le tétanos organisées au Kenya par l’OMS et l’UNICEF ont été dénoncées par la Conférence épiscopale catholique du Kenya comme étant des campagnes de stérilisations furtives. L’OMS serait donc impliquée dans la recherche d’un vaccin pour le contrôle des naissances ? Les orientations globalistes et vaccinales de l’OMS sont impulsées par des acteurs privés richissimes tel Bill Gates qui, via sa fondation et le groupe GAVI dont il est un actionnaire important, cherche obstinément à imposer une vaccination globale. La santé est-elle vraiment l’objectif poursuivi quand on apprend qu’en Guinée Bisseau, le vaccin DTC cause plus de morts que les maladies soi-disant combattues. De même au Congo, en Afghanistan et aux Philippines, les effrayantes épidémies de polio ont été causées par les vaccins eux-mêmes. En 2017, l’OMS admettait que l’explosion mondiale de la polio était d'origine vaccinale ! (étrange ressemblance avec l’épidémie covid !!).
Des racines eugénistes et transhumanistes angloaméricaines abreuvent l’OMS : créée en 1948, cette organisation se donne comme premier directeur le médecin psychiatre canadien Brock Chisholm, partisan d’un gouvernement mondial autoritaire avec qui un eugénisme internationaliste succédera à l’eugénisme racialiste allemand, sous un habillage rhétorique acceptable mais poursuivant le même objectif, à savoir l’amélioration de la population humaine par le contrôle de la reproduction : ainsi tout au long du XXe siècle jusqu'à nos jours sont apparus les termes transhumanisme, avortement, « thérapeutique » , interruption volontaire de grossesse, euthanasie, projet de génome humain…
Dans la très démocratique Suède, entre 1935 et 1996, environ 230 000 personnes ont été stérilisées dans le cadre d’un programme eugéniste « d’hygiène sociale et raciale » !
Progressivement, à partir des années 50, l’eugénisme à visée de préservation de la race (stérilisations forcées) sera remplacé par un programme de planification familiale (stérilisations consenties) sous l’influence des mêmes acteurs historiques aux visées eugénistes au moyen de la techno science.
En 2009, un groupe restreint de milliardaires (Gates, Soros, Warren Buffet, David Rockfeller, Ted Turner…) s’est réuni à New York, formant ce qu’ils ont appelé modestement « The Good Club ». Sous l’impulsion de Bill Gates, ils ont convenu de faire de la surpopulation la thématique principale de leurs préoccupations ! Gates veut obtenir, à l’horizon 2050, zéro émission carbone (qu’il attribue à la surpopulation) pour sauver la planète par la promotion d’une vaccination mondiale censé freiner la croissance démographique. L e s milliardaires globalistes ne visent-ils pas un « Great Reseat » démographique ? Cette obsession eugéniste radicale de Bill Gates semble prendre sa source dans l’univers de son ascendance familiale.
Ainsi, de puissants oligarques occidentaux (Rockefeller, Gates…) par le biais d’investissements colossaux et de la promotion des vaccins militent pour une gouvernance mondiale antinataliste déguisée en une planification familiale mondiale. Leur objectif inavoué consiste en réalité en une bisse drastique de la population mondiale comme le suggère Paul R. Ehrlich, biologiste de l’université de Stanford, pour qui le chiffre adéquat d’êtres humains serait d’un milliard et demi !
Le contrôle des naissances semble servir l’impérialisme géoéconomique dans la mesure où une croissance démographique importante notamment dans les pays du Tiers Monde représenterait une menace de déstabilisation politique contrecarrant les intérêts stratégiques des puissances « développées » comme l’accès aux ressources énergétiques. En 1970, les USA qui représentaient 6 % de la population mondiale consommaient approximativement le tiers des ressources mondiales disponibles.
Ne sommes nous pas les témoins d’une crise systémique que nos oligarques mondialistes tentent de régler par une solution finale démographique ? Ainsi Yuval Noah Harari, propagandiste transhumaniste israélien, mondialement promu, intervenant au Forum de Davos, développe l’idée que la 4e révolution industrielle en cours va entraîner l’obsolescence d’une grande partie des humains.
De même en 1995, lors d’une réunion du premier State Of The World Forum à San Francisco, les participants (hommes politiques, leaders économiques et scientifiques) étaient parvenus à la conclusion que 20 % de l’humanité suffirait au maintien de l’activité économique de la planète. Zbigniew Brzezinski (1928 - 2017 , cofondateur de la commission trilatérale avec David Rockefeller entre autres et ex-conseiller du Président Carter proposait, en son temps, la mise en place du « Tittytainment », cocktail composé de divertissements ahurissants, d’une alimentation suffisante et de médicaments pour occuper les 80 % des humains devenus inutiles.
Il semblerait qu’une minuscule minorité de milliardaires psychopathes criminels dont une partie ont décuplé leur fortune à la faveur de la pseudo-pandémie covid orchestrée et instrumentalisée, manœuvrent avec la participation d’hommes politiques corrompus pour orienter l'humanité vers un collectivisme globaliste et une dépopulation massive au risque d’un effondrement civilisationnel. Quel crédit pouvons-nous accorder à leur volonté philanthropique affichée alors que le seul mode de fonctionnement qui motive leurs actions se résume en terme de placement offshore, retour juteux sur investissement, secret des affaires incompatibles en matière de santé ?
Philippe Rossi