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« Le nouveau visage de l’exil fiscal, celui des classes moyennes supérieures qui partent dans d’autres pays européens

Grande-Bretagne, Belgique, Italie, Suisse et plus récemment Portugal. Aujourd’hui, l’exil ne se veut plus uniquement fiscal et c’est tout un pan d’une France aisée, éduquée, entreprenante, vertueuse dans la dépense et motivée par le travail qui s’exile. »

C’est un excellent article d’Atlantico que je vous invite à lire. Oui c’est la France des classes moyennes qui s’en va désormais. Pas les très riches qui sont déjà partis ou qui peuvent négocier facilement avec Bercy, pas les pauvres qui sont, par définition, des « bénéficiaires des minimas sociaux » (donc de l’assistanat) mais les gens comme vous, comme moi, comme l’un des mes amis qui passe actuellement une formation de crêpier (eh oui) pour aller vendre des crêpes non pas en France mais à l’étranger…

Il n’a aucune fortune à protéger, mais il en a ras la casquette de « payer pour les autres »… Alors on peut être pour ou contre, mais il ne faut pas être autiste et entendre cette France des classes moyennes qui se fait laminer. Il n’y a aucun développement économique, social ou culturel sans une classe moyenne forte.

Et François Hollande et sa clique de gochos-bobos devraient également se souvenir qu’il n’y a aucune révolution possible sans les classes moyennes. Ce qui veut dire qu’en se mettant les classes moyennes à dos, ce pouvoir met en place les conditions de sa propre chute.

Charles SANNAT

À propos de l'auteur
Charles Sannat est diplômé de l'Ecole Supérieure du Commerce Extérieur et du Centre d'Etudes Diplomatiques et Stratégiques. Il commence sa carrière en 1997 dans le secteur des nouvelles technologies comme consultant puis Manager au sein du Groupe Altran - Pôle Technologies de l’Information-(secteur banque/assurance). Il rejoint en 2006 BNP Paribas comme chargé d'affaires. Il est actuellement le directeur des études économiques d'AuCOFFRE.com et rédacteur du Contrarien Matin, 'Décryptage quotidien, sans concession, humoristique et sarcastique de l'actualité économique'.







 
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