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Dès la mort de l'animal : l'autolyse commence ! Les microorganismes pullulent après l'abattage de l'animal.

Les nombreux déchets de la mort apparaissent : leucomaïnes, ptomaïnes (très toxiques pour le foie), bases xanthées et créatiniques, lidine, parvoline, hydrocol, les purines (elles précipitent les calculs biliaires), la mydaléïne, l'acide lactique (il est d'autant plus abondant que l'animal était fatigué), les bases azotée (elles donnent... naissance à l'acide urique)...

Nos organes, tels notre foie, notre cœur, notre pancréas et notre rein (plus petits que ceux des carnivores) doivent s'hypertrophier pour arriver à transformer et à éliminer les toxines de la viande. Ils finissent par s'épuiser et cela mène souvent au diabète, à la néphrite et à de nombreuse maladies cardio-vasculaires. 

Le glycogène musculaire après la mort de l'animal sacrifié se transforme en acide lactique (poison pour l'organisme humain). Les troubles rénaux (néphrites : inflammations rénales) y sont favorisés. La décalcification (ostéoporose)

Les végétariens, de par leur alimentation, évitent le gras animal qui est lié au cancer et reçoivent une abondante quantité de fibres et de vitamines qui aident à prévenir cette maladie. De plus, l’analyse sanguine des végétariens révèle un plus haut taux de " cellules tueuses naturelles ", des globules blancs spécialisés qui attaquent les cellules cancéreuses.

Malter M, Schriever G, Eilber U. Natural killer cells, vitamins, and other blood components of vegetarian and omnivorous men. Nutr Cancer 1989; 12:271-8.) .
~ Gerard Baïle




 
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