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Alors que l’épidémie a pris fin depuis deux mois, l’OMS continue à donner l’ordre aux pays complotistes de semer la terreur dans les populations, en verrouillant les frontières entre les pays, les régions et les villes, en restreignant les libertés fondamentales des individus et en tuant l’économie locale. Ce même OMS est entretenu par quelques milliardaires dont l’objectif est le contrôle total de la population à l’échelle mondiale, la vaccination obligatoire au grand bonheur de Bill Gates, et surtout le programme de réduction massive de la population mondiale. 

La vague de mobilisation intense passée, alors qu'on continue à générer de l'anxiété extrême au lieu d'une saine prudence, bien des personnes se mettent à penser et à questionner l'étendue, la validité et les impacts à prévoir des mesures prises au cours des derniers mois. 

Des juristes et avocats questionnent les violations graves et durables aux droits fondamentaux, que les gouvernements donnent l'impression de chercher à prolonger alors même que les raisons avancées à l'adoption de lois d'exception ne sont plus présentes. Des élites se demandent sur la violence qu'on fait subir aux populations, dans la dérive d'une "médecine" exclusivement biologique et alignée sur les vues pasteuriennes là où on sait que la santé est une question bien plus vaste... avec une confusion saisissante entre le sécuritaire et le sanitaire. 

Réactions des internautes : 
Alors que l’épidémie, selon les critères usuels en la matière, n’existe plus, le matraquage médiatique continue de plus belle. Avec des titres confinant au surréalisme. La psychose entretenue autour du Covid-19 devient étrange, elle n’a plus aucun rapport avec le nombre de décès et de cas. Après le tabou sur le profil des personnes vulnérables, voici carrément le tabou sur les indicateurs faisant office de juge de paix. La réalité est que ces indicateurs sont en chute libre. Éluder à ce point ces faits est invraisemblable. Après que les gouvernements aient annoncé l’apocalypse sanitaire, ils ne veulent pas admettre que le virus est en train de décliner voire de mourir. Il n’y a pourtant pas de mal à admettre qu’on ait pu se tromper, au contraire.

Après avoir annoncé que seul un vaccin pouvait nous sortir de ce pétrin, et mis des milliards sur la table pour le développer, on ne veut pas admettre que nos défenses naturelles, l’immunité croisée, les tests, le traçage et l’isolement des malades, et notre civisme puissent suffire (pour précision, je suis totalement pro-vaccin, par exemple lorsque ça permet d’éradiquer la polio ou la rougeole… et pointer des conflits d’intérêt ne relève pas du conspirationnisme). 
Les propos d’un professionnel de la santé (Pr Yonathan Freund) : 
C’est difficile de rester silencieux. Quand je vois le délire alarmiste qui envahit les médias et les réseaux sociaux, et qui fait fi de toute mesure. Des journalistes qui infantilisent, ceux qui veulent punir les gens mal disciplinés. Alors on va debunker un peu. Ma position n’est pas imprudente. Je livre une analyse que j’espère circonstanciée et critique des données. Je rappelle que si mon hypothèse est contredite par les chiffres, alors on pourra agir et ce ne sera pas trop tard.

Le délire de certains spécialistes en rien sauf en plateau télé et en consultation privée, n’ayant jamais vu un patient COVID, qui nous apprennent que l’épidémie reprend : rien ne justifie ces discours. A part la peur. Voilà deux mois qu’il existe des arguments pour douter d’une seconde vague meurtrière et d’une reprise de l’épidémie. Les épidémiologistes chefs d’entreprise vendeurs de modèles nous prédisaient 80000 morts à la levée du confinement même avec gestes barrières. RAS.

Il n’y a eu aucune reprise nulle part. Les événements et comportements qu’on adorait critiquer (fête de la musique, manifestations etc.) n’ont causé aucune reprise. Il y a une circulation du virus. Il y a des nouveaux cas. Mais, et c’est le point central, toujours le même, à ce jour, il y a chaque jour, chaque semaine, de moins en moins de nouveaux cas hospitalisés ou en réanimation. Et ce partout. Alors bien sûr, on arrive à un niveau si bas que nous allons forcément voir des hausses. Quand on est tout en bas, ça ne peut qu’augmenter. Le virus n’est pas mort je le rappelle. Mais est-ce nécessaire de dire qu’on a un signal de reprise quand on passe de 1 à 3 par semaine ? On va arriver à un bruit de fond.

La décision d’imposer le port du maque est très difficile à comprendre. Pourquoi avoir pris cette décision au moment où tous les indicateurs sont au vert ? Quel est le plan ? Pour combien de temps ? Faut-il vraiment changer la société pour une durée indéterminée sans savoir si c’est nécessaire, et surtout sans savoir ce qui fera revenir en arrière ? Nous sommes nombreux à être d’accord : dans les régions fortement touchées, l’immunité est importante. Probablement suffisante, l’immunité n’est pas uniquement visible sur la sérologie. Il n’y a aucune reprise nulle part dans le monde là où l’épidémie a frappé violemment. Aucune. 
La Pandémie est politique : un scientifique canadien dénonce 
Un entretien majeur, apte à convaincre les plus influencés par la propagande officielle ! De passage à Ottawa, ThéoVox Actualités (Canada) a échangé avec Denis Rancourt. 


Arlette Colin


 
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