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Tous les soirs, partout dans le monde, le décompte officiel des morts fait trembler les braves gens, plonge les plus solides dans l’angoisse et les plus fragiles dans la terreur, justifiant tout un tas de mesures de contrôle et de privations des libertés.

Mais ce décompte est-il fiable ? Y a t-il des directives particulières concernant les décès qui doivent être considérés comme dus au Covid-19 ? La réponse est oui, et voici ce qu’il en est dans plusieurs pays du monde.
En Italie :
En Italie le Professeur Walter Ricciardi, conseiller scientifique au ministère de la santé italien cité dans un article du Telegraph explique que dans son pays le comptage des décès ne fait pas de différence entre “les personnes mortes DU virus et celles mortes AVEC le virus.”

“La manière dont nous comptons les morts du virus est très généreuse dans notre pays, dans la mesure où toutes les personnes mortes à l’hôpital avec le coronavirus sont considérés comme étant mortes à cause du coronavirus.” Et d’ajouter : “Après une ré-évaluation par l’Institut National de la Santé, seulement 12% des certificats de décès montraient que la mort était effectivement dûe au Coronavirus.” Source : The Telegraph

En Allemagne :
Le 20 mars le président de l’institut Robert Koch a confirmé que l’Allemagne comptait “Toute personne décédée testée positive au coronavirus comme une victime du Covid-19, que le virus soit responsable ou non de la mort.”

Encore en Allemagne, le Dr. Hendrik Streeck explique : « À Heinsberg, un homme de 78 ans avec d’autres maladies est mort d’une crise cardiaque, sans que le Sars-2 soit impliqué. Mais du fait qu’il était infecté, il apparait dans les statistiques des morts du Covid-19.»

Toujours en Allemagne, le professeur émérite de l’Université Johannes-Gutenberg de Mayence, et directeur de l’Institut de microbiologie médicale Sucharit Bhakdi a expliqué : « L’erreur est commise dans le monde entier de signaler les décès comme liés au virus dès qu’il est établi que le virus était présent au moment du décès – indépendamment d’autres facteurs. Cela viole un principe de base de l’infectiologie : un diagnostic ne peut être établi que lorsqu’il est avéré qu’un agent a joué un rôle important dans la maladie ou le décès. »

Aux Etats-Unis :
Lors du briefing santé du gouverneur de l’Illinois M. Pritzker dimanche 26 avril, le Dr Ngozi Ezike, directeur du département de la santé publique, a déclaré la chose suivante : “Je veux juste être claire en ce qui concerne la définition des personnes qui meurent du COVID. La définition est très simple, elle implique qu’au moment du décès, on avait un diagnostic COVID positif. […] Cela signifie que même si vous êtes décédé d’une autre cause, mais que vous aviez le COVID, votre décès sera répertorié comme un décès COVID. Donc, pour tous les décès répertoriés comme décès COVID, cela ne signifie pas que c’était la cause du décès, mais que les personnes avaient le COVID au moment du décès.”Source : Mcrtv.com (vidéo de l’intervention dans l’article)

Scott Jensen, médecin et sénateur révèle avoir été poussé à déclarer mortes du Covid-19 des personnes non testées. Selon lui l’objectif serait que tous les décès liés à « des pneumonies et maladies de type grippal soient enregistrés comme des cas de Covid-19 qu’il y ait eu un test ou non ».
Interrogé sur le pourquoi de ces directives qu’il a par ailleurs qualifées de « ridicules », le Dr Scott Jensen a répondu :,« Eh bien, la peur est un moyen formidable de contrôler les gens, et cela m’inquiète. Je suis inquiet parce que s’ils sont suffisament effrayés la capacité des gens à penser par eux-mêmes peut être paralysée …»

Le médecin californien Dan Erickson a décrit ses observations concernant le Covid-19 lors d’une conférence de presse le 22 avril et a rapporté que « des médecins de plusieurs États américains ont été « poussés » à délivrer des certificats de décès mentionnant Covid-19, contre leur propre avis ».

En Grande-Bretagne :
Le Dr. John Lee consultant au NHS (National Heath Service) a publié un article dans The Spectator expliquant : “De nombreux professionnels de la santé ont pris soin de répéter que les chiffres cités au Royaume-Uni indiquent la mort avec le virus, et non la mort due au virus – c’est important.

Cette nuance est cruciale. […] Malheureusement, elle a tendance à se perdre dans les chiffres cités…
Cette mise en garde importante est rarement exprimée par les (nombreux) graphiques que nous voyons.”[…]Source : The Spectator

En Suisse :
Interviewé dans le magazine suisse Saldo, le Pr. Pietro Vernazza , médecin-chef en infectiologie de l’hôpital de Saint-Gall à déclaré : « La plupart des personnes figurant dans les statistiques sur le coronavirus ne sont pas mortes de la maladie Covid-19. Beaucoup n’ont aucun symptôme ou n’en ont que de faibles.[…]”


Et ainsi de suite dans de nombreux pays…

En France ? Le silence est la règle… À l’exception d’un médecin urgentiste dont nous avons publié la lettre ici, et qui dit la chose suivante : “Tout d’abord à chaque fois qu’une personne décède avec un diagnostic de virus positif par PCR, on attribue son décès au virus. Et pourtant, un grand nombre de personnes, la majorité même sont porteuses de maladies sous-jacentes qui les auraient sans doute conduites tôt ou tard au décès ou à un infarctus, un cancer pulmonaire, une insuffisance respiratoire… […]

Devant l’imperfection du test PCR, la médecine s’est empressée de faire du diagnostic « technique » en retenant des scanners pulmonaires pathologiques comme étant lié au virus. Ceci est un biais diagnostic majeur ! étant donné que les images n’ont rien de spécifique au virus et qu’elle pourrait bien sûr être attribuées à une toute autre cause !! (bactérie, autre virus, fibrose pulmonaire ou autre image à toutes autres pathologies…) AUCUN médecin n’a remis cela en question. Comment peut-on poser un diagnostic virologique à partir d’images radiologiques, je suis stupéfait de cela.[…]”

Source : CovidInfos




 
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