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Le tourtereau Trudeau et l’oisillon Macron ont été préparés et sont contrôlés par l’Establishment Financier. Tous les deux étaient « élèves » de l’initiative « Leaders of Tomorrow » (Jeunes Leaders de Demain) de Klaus Schwab. L’ex-ministre français de l'Économie a été désigné dans la promotion 2016 comme l'un des 121 «maîtres du monde» de moins de 40 ans. C'est le Forum économique mondial de Davos qui s'était emparé de sa personne pour le mettre sur un piédestal en le désignant Young Global Leader (YGL), jeune leader mondial. 

Klaus Schwab a fait la déclaration suivante en janvier 2016 lors de la réunion annuelle du Forum économique mondial de Davos, moins de trois mois après l’accession de Justin Trudeau au poste de Premier ministre du Canada à la suite des élections de novembre 2015. La déclaration suivante de Schwab a été faite un an plus tard, en 2017 : 

« Je dois dire que je cite des noms comme Mme Merkel, même Vladimir Poutine et ainsi de suite, ils ont tous été des Young Global Leaders du Forum économique mondial. Mais ce dont nous sommes vraiment fiers maintenant avec la jeune génération comme le premier ministre Trudeau, le président de l’Argentine et ainsi de suite, c’est ainsi que nous réussissions à pénétrer dans les cabinets… C’est vrai en Argentine et c’est vrai en France maintenant… » (Klaus Schwab). 
Le Forum économique mondial (FEM) (agissant au nom de puissants intérêts financiers) supervise tous le États : «hommes et femmes, scientifiques, chefs de gouvernement, futurs chefs d'entreprise, activistes sociaux qui façonnent la politique, la société et le monde qui les entourent». 

L’objectif du Forum est de trouver les futurs dirigeants appropriés pour la société mondiale. Depuis sa création, le programme a inclus des hommes politiques, des chefs d’entreprise, des membres de la famille royale, des journalistes, des artistes et d’autres personnalités influentes dans le domaine culturel qui ont excellé dans leur domaine mais n’ont pas encore atteint l’âge de 40 ans (43 ans à l’origine afin d’inclure Angela Merkel). Il s’est depuis transformé en un vaste réseau mondial de dirigeants dévoués disposant d’énormes ressources et d’une grande influence, qui travaillent tous à la mise en œuvre des plans technocratiques du Forum économique mondial dans leurs nations et domaines respectifs. 

Le réseau crée une véritable force d’influence mondiale grâce à la combinaison des compétences et des ressources individuelles de ses membres. 

Comme le dit Klaus Schwab dans la citation d’introduction, ce réseau a connu un grand succès. 

Dès la première année, en 1992, un certain nombre de candidats très influents ont été élus. Parmi les 200 sélectionnés figuraient des personnalités mondiales telles qu’Angela Merkel, Tony Blair, Nicolas Sarkozy, Bill Gates, Bono, Richard Branson (Virgin), Jorma Ollila (Shell Oil), et José Manuel Barroso(Président de la Commission européenne 2004-2014). 

Autres exemples de jeunes leaders mondiaux influents : 
  • La princesse héritière Victoria de Suède 
  • Prince héritier Haakon de Norvège 
  • Le prince héritier Fredrik du Danemark 
  • Prince Jaime de Bourbon de Parme, Pays-Bas 
  • La princesse Reema Bint Bandar Al-Saud, ambassadrice d’Arabie Saoudite aux États-Unis. 
  • Jacinda Arden, Premier ministre, Nouvelle-Zélande 
  • Alexander De Croo, Premier ministre, Belgique 
  • Emmanuel Macron, Président, France 
  • Sanna Marin, Premier Ministre, Finlande 
  • Carlos Alvarado Quesada, Président, Costa Rica 
  • Faisal Alibrahim, Ministre de l’Économie et de la Planification, Arabie Saoudite 
  • Shauna Aminath, ministre de l’Environnement, du changement climatique et de la technologie, Maldives 
  • Ida Auken, députée, ancienne ministre de l’environnement, Danemark (auteur du tristement célèbre article « Welcome To 2030 : I Own Nothing, Have No Privacy And Life Has Never Been Better ») 
  • Annalena Baerbock, ministre des Affaires étrangères, leader de l’Alliance 90/Die Grünen, Allemagne 
  • Kamissa Camara, ministre de l’Économie numérique et de la planification, Mali 
  • Ugyen Dorji, ministre des Affaires intérieures, Bhoutan 
  • Chrystia Freeland, vice-première ministre et ministre des Finances, Canada 
  • Martín Guzmán, ministre des Finances, Argentine 
  • Muhammad Hammad Azhar, ministre de l’Énergie, Pakistan 
  • Paula Ingabire, ministre des Technologies de l’information et des communications et de l’innovation, Rwanda 
  • Ronald Lamola, ministre de la Justice et des services correctionnels, Afrique du Sud 
  • Birgitta Ohlson, ministre des Affaires européennes 2010-2014, Suède 
  • Mona Sahlin, chef du parti social-démocrate 2007-2011, Suède 
  • Stav Shaffir, chef du parti des Verts, Israël 
  • Vera Daves de Sousa, ministre des Finances, Angola 
  • Leonardo Di Caprio, acteur et militant pour le climat 
  • Mattias Klum, photographe et environnementaliste 
  • Jack Ma, fondateur d’Alibaba 
  • Larry Page, fondateur de Google 
  • Ricken Patel, fondateur d’Avaaz 
  • David de Rothschild, aventurier et environnementaliste 
  • Jimmy Wale, fondateur de Wikipédia 
  • Jacob Wallenberg, président d’Investor 
  • Niklas Zennström, fondateur de Skype 
  • Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook 
  • ....
Depuis le début, l’objectif est « d’identifier et de faire progresser un programme mondial tourné vers l’avenir, en se concentrant sur les questions à l’intersection des secteurs public et privé ». 

Les partenaires de Jeunes leaders mondiaux en 2000 étaient de grandes entreprises mondiales telles que The Coca Cola Company, Ernst & Young, Volkswagen et BP Amoco. Celles-ci pouvaient contribuer au programme en « jouant un rôle actif dans le développement et la mise en œuvre du concept du projet GLT ». Les partenaires peuvent donc participer activement au développement des programmes GLT ; les représentants des entreprises partenaires ainsi que leurs invités sont conviés aux réunions GLT … « Depuis que le programme Jeunes leaders de demain a été transformé en Jeunes leaders mondiaux 2004, des partenaires tels que la Fondation Bill & Melinda Gates, Google et JPMorganChase (avec des anciens du programme) ont également participé en tant que sponsors. 

La conséquence ultime des partenariats public-privé et de ces domaines cibles est la création d’un contrat social largement tyrannique dans lequel l’individu est devenu subordonné à ces puissants intérêts. Les nobles objectifs de création d’un monde meilleur ont également été kidnappés. Cela est particulièrement évident dans le contexte du partenariat entre le WEF et l’ONU et de la mise en œuvre des objectifs mondiaux (Agenda 2030) par l’application des technologies de la quatrième révolution industrielle. 

Cela signifie que les principes démocratiques et la division du pouvoir du 20e siècle ont été en grande partie complètement sapés et remplacés par une nouvelle classe mondiale qui façonne notre avenir commun en fonction de ses propres intérêts. 

Cela a conduit à une privatisation de facto des gouvernements nationaux et des organisations internationales, où les lobbyistes ne sont plus confinés dans le lobby mais ont investi le siège du pouvoir, façonnant des politiques qui affectent directement nos vies. Ce que cela signifie est devenu particulièrement évident depuis que la pandémie a été déclarée en mars 2020. En outre, les grandes sociétés multinationales de gestion des investissements, telles que BlackRock, dirigée par Larry Fink, membre du Forum économique mondial, n’ont cessé de faire évoluer leurs positions. 

L’économiste et journaliste allemand Ernst Wolff pense que bon nombre des dirigeants nationaux inclus dans le programme Jeunes leaders mondiaux ont été sélectionnés pour leur volonté de mener à bien le difficile programme de « contrôles des individus » de ces dernières années sans poser de questions, et que leur échec imminent (comme en témoigne le mécontentement croissant des masses) servira d’excuse pour créer une nouvelle forme de gouvernement mondial où les anciens États-nations deviennent grandement obsolètes. 

Une nouvelle monnaie numérique mondiale avec un revenu de base universel (UBI) pourra alors être progressivement introduite pour remplacer notre système monétaire condamné.[3] Cette conclusion coïncide en partie avec la mienne. 

Elle est également confirmée par les scénarios de Paul Raskin de The Great Transition Initiative [Initiative pour la Grande Transition] sur la façon dont un « Nouvel Ordre Planétaire » totalitaire est établi, pour être remplacé à long terme par un gouvernement démocratique mondial (Fédération de la Terre – (Earth Federation) avec une Constitution mondiale[4]. 

La pandémie de COVID-19 a mis en évidence l’échec catastrophique d’une approche de la santé publique basée sur le chacun pour soi, et les intérêts économiques nationaux, plutôt que les besoins mondiaux, continuent de dominer les discussions sur la politique climatique, ouvrant la voie au chaos climatique. 

Sous le Parlement mondial tricaméral se trouvent les quatre principales agences du gouvernement de la Fédération de la Terre : le système de la Cour suprême mondiale, l’exécutif mondial, le système d’application mondial et le médiateur mondial[5]. 

Glen T. Martin, La grande transition exige la constitution de la Terre 

La vision [perspective] est qu’un monde pacifique et harmonieux en équilibre est créé par l’établissement d’une Fédération Mondiale avec un Parlement Mondial, un Gouvernement Mondial et une Cour Mondiale. Ce sont des idées qui circulent depuis longtemps dans le Club de Rome et dans les cercles New Age étroitement liés. 

La question est de savoir comment un tel nouveau système mondial de pouvoir pourrait échapper au destin d’être kidnappé par les mêmes intérêts qui ont créé notre système actuel corrompu et défaillant. 

C’est ce que se demandent ceux qui soutiennent des projets tels que la Grande Transition (initiée avec un capital de départ de Steven Rockefeller). Ce qui se passe est plutôt une méthode pour nous amener à leur solution ultime sous la forme d’un système de contrôle technocratique mondial. 

Cependant, il est très peu probable que ce plan réussisse. La prise de conscience se répand comme une traînée de poudre et la panique de l’élite augmente à mesure que leur récit s’effrite et que les gens deviennent de plus en plus immunisés contre la propagande. D’où la présence d’inquisiteurs et de « vérificateurs de faits » qui veillent sur le récit et aident à orienter l’opinion publique dans la « bonne » direction. On peut certainement leur faire confiance puisque, par exemple, David Roy Thomson, président de Thomson Reuters Corporation, est un ancien élève de Jeunes Leaders de Demain promotion 1993. 
Il est maintenant temps de prendre en main notre propre destin et d’éviter de tomber dans de nouveaux pièges. 

Qui contrôle le Monde ?


 
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