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Partisan du transhumanisme, il prévoit l’implantation de puces d’abord dans les vêtements puis dans le cerveau, pour établir une « communication directe entre notre cerveau et le monde digital ». Il défend et promeut l’avènement de l’intelligence artificielle pour nos vies dans La quatrième révolution industrielle paru en 2017. 

Un homme semble être sorti de nulle part. Pourtant, celui-ci affirme sans sourciller la réinitialisation de tous les secteurs de la planète et promet la fusion de l’homme avec la machine. Cet homme de 83 ans s’appelle Klaus Schwab. Et s’il semble sortir du néant, il est en réalité un pur produit de l’élite de Planète finance qui cherche à privatiser, corporatiser et globaliser la planète dès le lendemain de la 2ème guerre mondiale.


L’inspiration de Klaus Schwab vient de son mentor Henry Kissinger, grand spécialiste de la privatisation des Etats. En 1982, Henry Kissinger a fondé, grâce à des fonds bancaires dont ceux de Goldman Sachs, son entreprise Kissinger Associates qui est spécialisée dans le conseil dans les relations et la négociation de contrats entre multinationales et gouvernements. A souligner que Paul Bremer l’ancien administrateur de l’Irak avait rejoint le cabinet Kissinger en 1984. Alors que KS travaille d’arrache-pied à densifier le tissu relationnel entre les entreprises, les gouvernements et la société civile, on voit son mentor faire avancer à grands pas l’émergence d’un nouvel ordre mondial. Henry Alfred Kissinger World Order.

C’est que le modèle récemment présenté de Klaus Schwab est inspiré de celui totalement collectiviste de Kate Raworth (Club de Rome), qui prône la constitutions des « commons » ou « biens communs ». M Schwab, autrefois néolibéral, semble subitement trouver un intérêt dans la collectivisation des richesses, mais curieusement ne remet jamais en question la création monétaire, contre dettes, par les grandes institutions financières et la concentration dramatique des richesses de la planète entre les mains des quelques fonds d’investissements. Et pour cause , ce sont ses invités.

Klaus Schwab appartient à cette techno-élite financiarisée (similarité frappante avec B Gates, partenaire du WEF) qui veut retravailler tout ce que Dieu /la nature aurait selon eux raté.

Roosevelt, dont l’assistant n’était autre Nelson Aldrich-Rockfeller, que le petit-fils du banquier Rockfeller (propriétaire de la Standard Oil) et du sénateur Aldrich, fondateur de la Réserve fédérale, proclamait également « une conception plus élevée – un ordre moral ». Ce qui n’est pas sans rappeler la réflexion du patron de la Goldman Sachs: « I am doing God’s Work »… K Schwab semble avoir adopté cette étrange croyance d’un messianisme basé, dans son cas, sur le mariage de la gouvernance publique avec le business, sur la technoscience, et sur l’ingénierie sociale.


 
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