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Profitant de la crise du Covid-19, la médecine foule au pied le plus grand de nos principes républicains : la liberté ! Marc Menant démonte dans ce livre coup de poing les travers de cette médecine en reprenant son histoire et en dénonçant ses impostures ! Quel bouleversement nous vivons ! Antivax ou pro Vax, ce livre nous concerne tous.

La médecine a profité de la crise du Covid-19 pour s’arroger le principe le plus noble, le plus fragile et le plus emblématique, celui de notre « liberté ». Au nom de la science, elle lui a substitué celui de la « santé publique ». Tous se sont rendus coupables d’un délit d’illusion de bonne santé. Délit évitable par la vaccination qui – garantissent certains infectiologues – force le système immunitaire à la production de l’indispensable, stock d’anticorps. 

Vous allez découvrir pourquoi seule l’histoire des vaccins depuis Pasteur peut nous aider sur ce débat au cœur de nos vies. Une éclairante et nécessaire histoire d’éminents chercheurs et de leurs impostures dûment établies, dont la première, celle du légendaire, du mythique Pasteur ! Car tout commence avec lui. 


Extraits du livre : Malade sans le savoir 
Quel bouleversement ! En 2021, la médecine allopathique a profité de la crise du Covid-19 pour s’arroger la prééminence sur les grands principes de la République et, d’abord, sur le plus noble, le plus ambitieux, le plus fragile, le plus emblématique, celui de la « liberté », ce trésor ciselé aux droits de l’homme et du citoyen ! Chimère philosophique pour la médecine, le mirifique principe en règne précaire depuis deux siècles et demi. Au nom de la science, elle lui a substitué la « santé publique ». Elle avait depuis son avènement déchu obscurantiste, complotiste, membre de secte, tout réfractaire à son hégémonie. 

La médecine, contrairement à toutes les autres sciences, refuse le principe de la remise en cause qui finit toujours par affaiblir, voire abolir les théories les mieux établies. Indubitable, pour elle, son précepte des microbes et des maladies ennemies à combattre grâce aux vaccins et molécules de synthèse. Vérité absolue, le précepte, il est digne de la parole révélée des religions monothéistes. Rayonne, science des sciences, la médecine ! Certaine que sans ses avancées l’humanité croupirait miteuse, décharnée, ravagée par les myriades de virus, bactéries et autres vermines microscopiques en maraude génocidaire, à croire que seuls les ânes bâtés s’esclaffent aux tirades du Knock de Jules Romains : 

« La santé n’est qu’un mythe, un état précaire qui ne laisse rien présager de bon… », « On ne soigne pas assez… », « Les gens bien portants sont des malades qui s’ignorent… » 

Exactement ce que les sommités de la Faculté se sont évertuées à marteler dès le début de l’épidémie du Covid, étiquetant les bien-portants « asymptomatiques », qui, infiltrés par un agent infectieux, ne développent pas le moindre symptôme généré par la maladie alors qu’ils en sont bien la proie. Là, le drame, car ils deviennent ainsi les principaux responsables de sa diffusion… principaux… puisqu’ils représentent plus des trois quarts des contaminés. Bien sûr, on pourrait objecter que l’absence de maux rend très faible la probabilité de déclencher les quintes de toux vecteurs de la propagation, mais les grands pontes se sont obstinés à proclamer ces « malades clandestins » dangereux pour autrui, ce qui, à la réflexion, apparente leur présence en un lieu à un homicide, au mieux involontaire s’ils ignorent leur cas, et volontaire s’ils le connaissent. Quelle que soit la version, ils se rendent coupables d’un indéniable délit d’« illusion de bonne santé », délit heureusement évitable par la vaccination qui – garantissent les infectiologues – force le système immunitaire à la production de l’indispensable stock d’anticorps, production que n’avait pas déclenchée naturellement l’intrusion du virus pourtant en quintessence de virulence !!! Travers endémique de la médecine, ses hâtives et définitives conclusions, avec pour seule démonstration la fallacieuse évidence de l’observation. 

Seule l’histoire de la médecine peut nous éclairer sur ce travers, une histoire enrichie de publications d’éminents chercheurs parues dans les revues scientifiques les plus prestigieuses, et par la dénonciation de toutes les impostures dûment établies, dont la première, celle du légendaire, du mythique Pasteur ! Car tout commence là. 

La plus grande imposture 
Comme toujours indifférent aux critiques, Pasteur a décrété que les microbes étaient bel et bien ennemis de l’homme. Il s’est juré de les terrasser par le vaccin, rien ne peut le détourner de son invraisemblable défi… invraisemblable car il ignore tout du système immunitaire, comme il ignore presque tout de la rage… Presque, car, selon son habitude, il a fouiné dans les rapports adressés à l’Académie de médecine et y a dégoté un compte rendu en dormance par indifférence générale. D’un vétérinaire, Pierre-Victor Galtier, les pages délaissées exposaient l’inoculation réussie de la rage à des lapins, concluant que le système nerveux échappe à l’infection, ce qui est faux, comme le découvre Pasteur grâce à un admirateur, le docteur Henri Duboué qui lui a adressé spontanément les résultats de ses propres recherches sur le fléau. L’accumulation de données lui permit, en 1880, de lancer ses travaux contre la maladie en s’inspirant des protocoles établis lors de ses recherches sur le bacille du charbon. Rappelons que le vaccin obtenu avait été préventif et que celui contre la rage était curatif. Comme le virus n’est pas encore identifié, il ne peut l’ensemencer dans un bouillon de culture. Aussi, il copie Galtier et transforme en éprouvettes des lapins, leur injectant un extrait de moelle d’un congénère préalablement infecté par celle d’un chien enragé puis après vingt-quatre heures d’incubation, il répète le processus, prélevant sur chacun de la substance aussitôt inoculée à un nouveau cobaye, ainsi de suite en cascade de bête en bête pendant une semaine avec pour objectif la création d’un « virus fixe » atténué, indispensable à l’élaboration du vaccin. Il lui faut des mois pour aboutir au résultat. Hélas, contrairement à ce qu’il escompte, le virus est devenu beaucoup trop virulent, ce qui le rend inutilisable. Pour le pacifier, il change « de tube à essais », remplace les grignoteurs de carottes par plusieurs espèces successives, jusqu’à la réussite par la contamination de singe à singe, ce qui, en 1881, relance les essais sur les chiens. Il bute alors sur la résistance de leur immunité innée, la plupart ne développent pas la maladie. Par une audace barbare, Roux le sort de l’impasse. Le médecin trépane des animaux receveurs et leur dépose directement le magma infectieux dans la dure-mère, la plus externe des méninges. Puis, chacun replié dans son coin tâtonne le processus qui garantira la parfaite reproductibilité de la méthode. ... 
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