« Et que personne ne pût ni acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête, ou le nombre de son nom. » Apocalypse de Saint-Jean 13, 17
Les oligarques ne se cachent même pas du fait que leur ambition prioritaire est de pucer l'ensemble de la population et de la contrôler via une puce RFID (radio frequency identification), comme un éleveur le ferait avec son bétail et comme on le pratique déjà depuis des dizaines d'années sur les animaux domestiques.
On peut ainsi trouver sur la toile, une interview tout à fait édifiante, du réalisateur et documentariste hollywoodien Aaron Russo, décédé peu après ces révélations choc. Russo, fort de sa notoriété à Hollywood aurait approché un certain Nicholas Rockefeller, un membre du clan Rockefeller, qui lui aurait alors livré quelques confidences de première importance.
Il lui aurait confié que l’objectif principal des grands banquiers et élites de ce monde n'était nul autre que le puçage généralisé des populations ! Mais après tout, dans une société qui a désormais étendu le règne absolu de la marchandise à tous les secteur de la vie, il n’est pas étonnant que l’homme soit, à son tour, considéré comme une vulgaire marchandise. On peut déjà le voir, par exemple, avec le développement de la GPA et la mise en place de véritable usines à produire des bébés à la carte, à l'aide de mères porteuses exploitées telles des esclaves pour accomplir cette basse besogne dans certains pays du Tiers Monde, ou en Inde…
La technologie RFID
La RFID par radio-identification, est une méthode pour mémoriser et récupérer des données à distance, en utilisant des marqueurs appelés "radio-étiquettes" ("RFID tag" ou "RFID transponder").
La technologie RFID est déjà utilisée depuis des années par l’industrie et de très nombreuses marchandises possèdent dors et déjà une de ces "étiquettes dites intelligentes" qui permettent de faciliter considérablement la gestion des stocks dans les dépôts et magasins.
La société "Applied Digital Solutions" commercialise sous le nom de "VeriChip", une solution de puçage sous-cutané et d'identification des êtres humains.
Cette nano-puce, d'une taille inférieure à celle d'un grain de riz, devrait à terme regrouper toutes les informations importantes relatives à l'individu, comme ses informations d'identité, son dossier médical, son numéro de sécurité sociale et servir de carte de visite.
Elle devrait aussi servir de moyen de paiement, couplée à une monnaie électronique totalement virtuelle, qui est prévue de longue date par le grand patron de Visa et programmée aux alentours de 2022.
La puce servira aussi de moyen de géolocalisation en temps réel pour repérer à tout instant son porteur. De plus, elle servira aussi de moyen "sécurisé" pour déverrouiller et accéder à son smartphone et son ordinateur, ou encore pour relier son profil issu d'un réseau social.
Mais ce n'est pas tout, la puce pourra également servir de "Pass Navigo", de carte d'abonnement pour votre salle de sport, de carte de fidélité pour votre magasin préféré, etc.
En clair, tout sera donc rassemblé et centralisé sur cette micro-puce, lisible par un simple lecteur optique.
Nul doute que la puce sera couplée avec toute la puissance de la reconnaissance faciale, afin d'afficher en permanence sur les moniteurs de contrôle des caméras de surveillance, à la fois les visages des individus, mais aussi leur pedigree et toutes les informations les concernants.
Elon Musk, l'un des grands patrons et gourou du Transhumanisme, nous annonce que dans 5 ans, grâce à sa firme Neuralink, nous aurons tous des puces implantées dans le cerveau, pour augmenter nos capacités et nous relier directement à Internet... Merveilleux, il faut bien l'avouer, on en rêvait !
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On se croirait vraiment plongés au coeur d'un roman de science-fiction comme dans le "Total Recall" de l'écrivain Philippe K. Dick, où l'on pouvait implémenter directement des rêves, des souvenirs et des expériences de voyage dans le cerveau avec une puce.
Au niveau de la santé, autant dire que l'on peut légitimement être inquiet, car les échanges intempestifs d'informations avec les terminaux de lecture de ces puces impliquent de facto la diffusion permanente d'ondes irradiantes dans notre propre chair !
Autre point important à signaler, si l'implantation de la puce représente une simple formalité, son retrait est en revanche un vrais calvaire, car la puce se mêle aux tissus de la peau.
Autant dire qu'il vaut mieux y réfléchir à deux fois avant de se faire implanter...
Vers un monde sans cashLa disparition de la monnaie fiduciaire est, quant à elle, programmée de longue date et nous sera imposée, comme il se doit, au nom de notre plus grand bien, à savoir, pour notre sécurité, notre protection et au nom de la stabilité de la société, de la lutte contre les mafias, les trafics en tous genres, le terrorisme... Il s'agirait d'assurer une meilleure traçabilité des mouvements de capitaux et donc de limiter la circulation d'argent sale et de trafics.
Pour parvenir à cette monnaie entièrement dématérialisée, il s'agit de rendre, au fur et à mesure, les paiements en espèces toujours plus contraignants et moins avantageux que les paiements par monnaie électronique, avec des frais supplémentaires engendrés par la prise en charge du traitement du liquide. Par ailleurs, le paiement "sans contact" qui se développe partout avec la norme NFC est l'étape intermédiaire qui préfigure l'arrivée prochaine de la puce. L'introduction de ce mode de paiement permet déjà d'imprimer des automatismes dans la population.
Le processus est déjà bien enclenché dans certains pays, comme en Suède, où l'on démonte les distributeurs de billets, en Norvège qui a programmé la disparition du cash pour 2020, ou encore au Danemark, où l'on autorise les commerçants à refuser les espèces. Cette funeste disparition de toute monnaie fiduciaire actera la perte absolue et définitive de nos libertés, de notre indépendance financière et de notre anonymat.
Notre traçabilité sera alors totale et nous pourrons être contrôlés dans tous les aspects de notre vie, ce qui fait franchement froid dans le dos ! Dans un tel monde, malheur aussi aux SDF et aux pauvres, qui ne pourront même plus mendier leur petite pièce au coin de la rue, à moins d'être relié au système bancaire, de disposer d'un compte et d'avoir des terminaux de paiement...
Une intense propagande pour la puce
Les mérites de la puce sont déjà vantés par les médias et sur les réseaux sociaux : elle est présentée, par exemple, comme un gadget tendance qui permet de régler ses consommations en boîte de nuit par simple imposition de la main sur le comptoir. À Barcelone, le "Baja Beach Club" utilise et implante déjà ces puces sous-cutanées afin d'offrir à ses clients "VIP", une fonction de porte-monnaie virtuel servant à régler leurs consommations.
Elle permet aussi de contrôler tous les équipements domotiques de sa maison, de servir de badge de sécurité pour accéder à certains espaces privatifs. En outre, elle peut aussi servir à déverrouiller son véhicule, comme en a fait la démonstration une "Bio-Hackeuse" sur internet, toute fière de pouvoir ouvrir sa voiture Tesla avec...
En outre, on la vend aussi comme un moyen de protection et de sécurité, qui permet entre autre, de surveiller une personne âgée dépendante, qui serait atteinte de la maladie d'Alzheimer, comme un moyen de superviser la santé de son porteur, d'améliorer la prise en charge des soins et d'augmenter vos chances de survie en communiquant instantanément toutes les données vitales aux urgences avec les informations du dossier médical qui seront instantanément accessibles, en cas d'accident grave.
Quant aux parents anxieux, on leur fait miroiter, en implantant leurs enfants avec une puce, une solution de surveillance et de protection ultime pour lutter efficacement contre le fléau des enlèvements d'enfants. Ils seraient alors en mesure de repérer les ravisseurs. La puce leur permettrait de garder, 24h sur 24, un œil sur les moindres déplacements et activités de leur progéniture.
Par ailleurs, on peut dors et déjà observer que toutes les données personnelles et les services migrent vers le numérique et sont progressivement dématérialisés : impôts, timbres fiscaux, déclarations administratives, carte grise, permis de conduire, passeports, cartes d'identité, dossiers médicaux, etc. La sécurité sociale va aussi faire migrer la carte vitale en une "e-card" numérique d'Assurance-Maladie.
La puce est présentée comme le Nec Plus Ultra, elle remplace donc clés, carte d'identité, cartes de visite, billets de train et joue le rôle de porte-monnaie virtuel.
Dans un avenir proche, la puce sera aussi certainement couplée avec un fichier citoyen regroupant les principales informations de son porteur. L'objectif, à terme est simple : il s'agit de recouper toutes ces informations sensibles, afin de constituer un dossier citoyen numérique et une identité numérique, qui porte déjà le nom d'Alice M (acronyme d'Authentification en Ligne Certifiée sur Mobile). Elle permettra de s'identifier grâce à son smartphone pour accéder depuis son mobile aux sites officiels gouvernementaux et aux services publics regroupés dans un portail d'accès centralisé, "France Connect".
Nos libertés en grand dangerIl est utile et nécessaire de bien se rappeler que le fichage généralisé, placé entre de mauvaises mains, peut s'avérer extrêmement dangereux, comme le peuple Juif en avait fait la douloureuse expérience pendant la Seconde Guerre mondiale... Les juifs avaient alors été massivement fichés, grâce à une technologie de cartes perforées, développée à l'époque par IBM. Les numéros tatoués sur les bras des prisonniers dans les camps étaient en fait un numéro d'identification de carte perforée. À noter qu'IBM est d'ailleurs toujours une très grosse et puissante entreprise à l'heure actuelle...
Il faut bien prendre conscience du grand danger qui nous guette, avec l'émergence et la convergence de plusieurs puissantes technologies parfaitement complémentaires, qui additionnées se révéleront, à n'en pas douter, d'une efficacité redoutable ! Ces technologies numériques sont les caméras et drones de reconnaissances faciales ultra-précis, mais aussi les bases de données de Big Data via le cloud, pour stocker les informations citoyennes et celle des réseaux sociaux, et enfin la technologie RFID embarquée des puces, le tout étant appuyé par la puissance de traitement informatique et la vitesse accrue des réseaux, notamment avec l'arrivée prochaine de la "5G"... De quoi surveiller tout le monde de manière très étroite et continuelle.
L'étape suivante sera probablement de fliquer tous les citoyens, en leur appliquant un système de notation civique, comme le met déjà en pratique le gouvernement Chinois, avec pénalités, perte de droits civiques et humiliations en place publique à la clé, pour ceux qui sont désignés arbitrairement par le régime en place comme de mauvais citoyens.
On remarquera au passage qu'on a habitué les gens à des systèmes de notation constants pour tout et n'importe quoi, notamment à travers les émissions de Téléréalité avec "The Voice", "Top Chef", "Koh Lanta", j'en passe et des meilleurs... On les a même habitué à éliminer le maillon le plus faible du groupe social...
Par ailleurs, Jacques Attali, dans l'émission de Public Sénat, "Conversation d'avenir, la RFID" évoque que ces puces puissent dans un futur proche être implantées, par exemple, sur des migrants, ou encore des prostituées qui tentent d'échapper à leurs souteneurs, afin que celles-ci puissent être localisées et protégées.
La puce est déjà en cours d'implantation dans différents pays, pour le moment, sur la base de la séduction et du volontariat, mais il parait évident qu'avec sa généralisation, elle finira par être inéluctablement imposée à tous... Ce n'est qu'une simple question de temps !
Ainsi, en Suède, elle commence par exemple déjà à être implantée de manière massive, où quelques milliers de "Geeks" inconscients en sont déjà pourvus. En France, l'entreprise pharmaceutique Sanofi Lyon a déjà fait implanter 3.000 de ses employés. De toute évidence, les grandes entreprises finiront immanquablement, au nom de leur sécurité, par imposer le port de la puce à leurs employés s'ils veulent espérer continuer à y travailler.
Il est aussi de plus en plus question d'imposer le port de la puce sur des personnes instables psychologiquement ou bien, sur des prisonniers, pour pouvoir les suivre à la trace, comme un bracelet électronique permanent.
Et pour les derniers récalcitrants, il sera toujours possible de leur faire passer une expertise psychiatrique et de déclarer la personne folle, instable ou dangereuse, pour lui imposer le port de la puce.
À terme, ceux qui refuseront la puce seront diabolisés, perçus par le reste de la population comme présentant un danger potentiel pour la société, comme de possibles terroristes, car manquant de volonté de transparence et ayant par conséquent manifestement sûrement quelque chose à cacher.
La puce sera une sorte de nouvelle chaîne pour esclaves, mais imperceptible car virtuelle, contrairement aux chaînes forgées dans le fer des anciens esclaves. Elle n'en sera pas moins d'une efficacité redoutable !
L'humanité sera alors divisée en deux groupes, ceux qui accepteront docilement ce modèle de société ultra contrôlé, virtualisé et ceux qui la refuseront, mais qui devront payer le prix fort pour préserver leur liberté en étant déconnectés du système, privés de ressources et survivrons tels de vrais parias. Ils seront aussi privés de la sécurité sociale et donc de la possibilité de se soigner.
À l'air de la puce, toute dissidence politique, toute forme de résistance sera alors rendue purement illusoire et vaine, car les individus qui ne voudront pas se soumettre au système et à toute cette matrice de contrôle globale, n'auront plus aucune échappatoire ni moyen de subsistance. Ils n'auront plus d'existence légale, ni bancaire, ni sociale, ni administrative, plus d'état-civil.
En somme, ils seront condamnés à une mort sociale assurée. Les gens qui la refuseront seront d'ailleurs certainement hors-la-loi et emprisonnés.
