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En 2017, une équipe de scientifiques de l’Université d’Alberta crée de toutes pièces (par simple assemblage de petites séquences de gènes achetées sur internet) le virus de la variole équine, prouvant que des groupes dotés de peu de moyens pourraient créer aussi facilement le virus de la variole humaine, qui n’en diffère que par quelques bases (et qui est beaucoup plus dangereux que la variole du singe).

Aujourd’hui apparaît la variole du singe simultanément au Royaume-Uni, Portugal, Espagne, France, Belgique, Suède, Italie, Canada, États-Unis, Australie… (ce qui exclut une propagation par contaminations naturelles).

Donc :
la variole du singe apparaît (spontanément et) simultanément dans plusieurs pays de l’OTAN, un an après la simulation d’une pandémie de (par chance) variole du singe,

et la fabrication depuis plusieurs mois de « vaccins » contre la variole du singe (ça tombe bien),

« vaccins » qui sont prêts juste au bon moment (ouf),

tout ça grâce aux investissement massifs heureusement anticipés du grand médecin et épidémiologiste philanthrope devin Bill Gates, légitimement élu à l’unanimité mondiale directeur de l’OMS depuis des années,

« vaccins » qui ont été massivement achetés par anticipation (et, il faut le reconnaître, fort opportunément) par certains États il y a quelques mois,

alors que l’OMS, essentiellement financée par Bill Gates, Big Pharma et le lobby des vaccins, sera bientôt statutairement investie de pouvoirs supra-nationaux lui permettant légalement d’imposer des mesures aux États (aux populations, pour être plus précis) en cas d’alerte pandémique, la déclaration d’alerte pandémique devant être émise par… l’OMS ou Bill Gates (au choix).
Note : outre les passages entre parenthèses, la seule chose fausse dans ce paragraphe est évidemment que Bill Gates n’est en réalité ni médecin, ni épidémiologiste, ni philanthrope, ni directeur de l’OMS (encore qu’étant son principal financeur…), ni élu de quoi que ce soit.




 
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