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Lors d'un entretien avec Katherine Watt, en marge de la conférence de désarmement tenue par l'ONU le 24 janvier 2023, la juriste de Pennsylvanie et chercheuse en droit, a démystifié le rôle de l’État profond dans la prolifération des armes biologiques et l’utilisation du Covid comme (Boite à tuer), terme utilisé par les militaires américains. Écoutez son interview, c'est hallucinant ! Le traitement de l'épidémie Covid en Europe est du copier/coller de la politique américaine et du programme annoncé par les mondialistes, cherchez l'erreur !


 
 
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L’idée de base est que la santé publique a été militarisée et l’armée a été en quelque sorte transformée en un front de santé publique, ou de village potemkin, de sorte qu’ils utilisent le langage et les lois de la santé publique pour en fait mener à bien une campagne militaire, et je ne les appellerai pas vaccins de la défense, mais armes de la défense.

Ils l’appellent donc la boîte à tuer !

La première piste que j’ai eue, était l’interview de l'avocat Todd Callender, du 30 janvier 2022, sur le podcast du Dr. Elizabeth Lee Vliet « Vérité sur la Santé ».

Il l’a décrite comme une boîte à tuer. J’ai cherché et il s’est avéré que c’est un terme militaire pour établir un espace géographique ou une zone tridimensionnelle pour une attaque militaire par voie aérienne et terrestre afin de tuer les gens qui s’y trouvent, puis démanteler le cadre et passer à la campagne suivante.

Ce que le ministre de la Défense et l’Organisation mondiale de la santé ont l’intention de faire, ils sont allés assez loin en cela, sans toutefois atteindre leurs objectifs, c’est de faire du monde entier leur terrain géographique. Ils ciblent la population de tous les habitants du monde.

La durée de leur campagne est permanente et les armes qu’ils utilisent sont d’abord informationnel, c’est-à-dire la propagande et la censure, le deuxième psychologique, terreur et terrorisme qui consiste à dire aux gens qu’ils doivent avoir peur en permanence et doivent écouter le gouvernement. Et enfin le 3e volet, les armes chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires qui sont appelés dans leur campagne, vaccins pharmaceutiques, mais qui sont en fait des toxines et des agents pathogènes.

Après avoir entendu cette interview, je me demandais déjà ce qui se passait, mais j’ai commencé à essayer de retrouver certaines des choses dont Todd Callendar parlait dans son interview et de comprendre les cadres juridiques, comment ils étaient mis en place, et quelles étaient les mécanismes de coercitions financières.

Mes conclusions viennent d’autres gens qui ont trouvé sous d’autres angles, sont que ce projet dure depuis des siècles. Il s’agit essentiellement, de banquiers centraux mondialistes et de nombreuses organisations apparentées et qui tentent d’obtenir le contrôle total des êtres humains par le biais de programmes bancaires et militaires.

Ils ont passé la vitesse supérieure en 1913 avec la loi sur la Réserve Fédérale, puis ils ont fait passer l’aspect santé publique à la vitesse supérieure à partir des années 30 et 40.

Avant les années 60, ils le faisaient principalement par le biais de conflits armés orchestrés et de dépressions financières et de guerres qui sont très bruyantes, désordonnées et destructrices pour les infrastructures, ce qui leur rend difficile un déni plausible et une impunité légale pour leurs actes.

Ainsi, au milieu des années 60, ils se sont perfectionnés dans l’incitation au suicide et l’homicide en étiquetant frauduleusement des poisons comme médicaments, vaccins ou produits prophylactiques et en disant aux gens que se soumettre à ce processus d’empoisonnement était leur devoir civique. C’est que nous avons vu dans Covid avec le raccourci, fais ça ou tu vas tuer grand-mère.

La méthode pharmaceutique leur est surtout utile, car elle facilite le déni plausible et l’impunité juridique. Ils peuvent atteindre le même objectif de tuer beaucoup de gens sans que leurs empreintes digitales soient partout.

J’ai étudié les cascades de coercitions surtout financières, sans entrer dans les détails, ça commence au sommet avec la banque des règlements internationaux et ils peuvent utiliser leur contrôle de l’accès des autres banques centrales fédérales aux systèmes financiers, puis tout au long, par les gouvernements des États, les gouvernements nationaux, locaux ou municipaux, les districts scolaires, les hôpitaux, etc.

Si vous vous conformez à ce qu’ils vous disent de faire, concernant les masques, les tests, vous isolez, faire les vaccins, alors vous obtiendrez l’accès financier dont vous avez besoin pour gérer votre entreprise ou avoir un emploi. Si vous ne vous conformez pas, ils peuvent vous couper ces services et c’est donc l’un des principaux mécanismes par lesquels tout cela a été réalisé.

Puis sur le plan juridique, sur mon site Web, je remonte plus loin, mais je vais commencer en 1969, juste pour commencer quelque part.

Le Congrès américain a voté une loi pour mettre en place le programme de guerre chimique et biologique, et dans cette loi qui au chapitre 32, du 50 US Code, il y’a des termes clés très importants, comme Protector, Prophylactique et Défensif, ce qui justifie leur action.

Ils utilisaient ces termes, car la communauté internationale, des gens ordinaires qui ne sont pas fous, préoccupés par les armes biologiques et chimiques, travaillaient sur des traités internationaux pour les interdire.

Ils ont donc dû prévoir des exceptions, à savoir qu’ils n’allaient pas permettre la recherche et le développement d’armes biologiques et chimiques, sauf à des fins protectrices prophylactiques ou défensives. Cette caractérisation est fausse, car tous ces produits biologiquement actifs sont par nature bien sûr toxiques et mortels.

Et c’est en fait que des disciplines comme la toxicologie, la pharmacocinétique, la génotoxicité les interactions médicamenteuses, sont toutes liées. Au fait que tout ce qui entre dans le corps humain ou dans tout autre corps vivant a des effets qui peuvent être toxiques, c’est ainsi qu’ils ont essayé de contourner ce problème.

Ensuite, la plate-forme de base des urgences de santé publique est apparue en 1983, lorsque le Congrès a adopté l’amendement à la loi sur le service de santé publique avec le programme d’urgence de santé publique dans la loi de 1944 qui l’avait créé au départ, un service qui est une branche de l’armée.

En 1983, le Congrès et Reagan ont aussi créé un fond secret de 30 millions qui était maintenu sous un nom différent de celui de l’époque, mais il est toujours financé comme NDAA (loi d’autorisation de la défense nationale) de décembre 2022.

Dans les années 80, ils ont aussi mis en place le programme national de vaccination de 1986 et la loi sur les dommages dus aux vaccins des enfants, ce qui a mis en place, l’exemption des responsabilités des fabricants, et ont canalisé toute personne blessée par un vaccin vers cet autre programme de compensation différent. Il a été utilisé comme modèle depuis le début du Covid pour le programme d’indemnisation des dommages.

Ainsi, la partie internationale, la pierre angulaire, et l’Organisation mondiale de la santé qui n’est pas une organisation de santé, mais une organisation militaire en raison de la fusion dont je parle. C’est en quelque sorte le bras militaire du gouvernement mondial unique qu’ils essaient de mettre en place.

En 2005, ils ont apporté au règlement sanitaire international une série d’amendements qui sont entrés en vigueur en juin 2007. En gros, le RSI qui fait actuellement l’objet d’une autre série d’amendements visant à l’aggraver, demande aux gouvernements nationaux de renforcer leurs propres lois nationales et de financer davantage de programmes de surveillances, de tests, de détentions de quarantaine, de contrôles physiques et de traitements forcés lors des épidémies internationales de maladies transmissibles.

Et le prétexte utilisé, car ce sont les banquiers qui ont fait cela, était qu’ils devaient protéger le commerce international des perturbations causées par les épidémies. Mais la véritable intention était de mettre en place des systèmes juridiques qui transfèrent les gouvernements souverains de l’État-Nation à l’Organisation mondiale de la santé et à la BRI. Automatiquement, lorsqu’une urgence de santé publique de portée internationale déclarée et le Congrès, les présidents américains et le cabinet se sont conformés à cette demande de l’OMS.

1997 et 1998 ont été deux années clés, avec la mise en place du programme d’autorisation d’utilisation en cas d’urgence, et lorsqu’ils ont transféré le stock d’armes CBRN, est passé de la classification DOD à la classification et au contrôle HHS ou du CDC. Il s’agissait des mêmes produits pour autant que je sache. Il s’agissait simplement de les ré-étiqueter et de les réinfecter.

L’autorisation d’utilisation d’urgence s’est faite en deux temps, à l’époque l’opinion publique était vraiment bouleversée par l’utilisation de vaccins non approuvés contre l’anthrax sur les troupes militaires et les effets indésirables horribles qu’ils provoquaient.

Le Congrès a donc voté une loi en novembre pour révoquer l’autorisation de tester ou d’utiliser des produits non approuvés sur les troupes militaires, mais trois jours plus tard, une autre loi permit de mettre en place les mêmes programmes, mais en élargissant la population cible des militaires à l’ensemble de la population américaine.

Puis entre 2000 et 2002, profitant de l’élan donné par le 11 septembre et les attaques à l’anthrax contre le Congrès, ils ont mis en place par le biais des lois, des structures de gestion des programmes. Par le biais de la loi de 2000, sur les menaces et les urgences de la santé publique, par le biais de l’autorisation de 2001 pour le recours à la force militaire, et les gens ont en parlé à l’époque.

Cela a été interprété comme mettant le pays dans un état de guerre permanente, la guerre globale contre le terrorisme avec tous les autres pays du le monde, sans limites géographiques, sans limites de temps, sans ennemis identifiés autres que le terrorisme, et par ce biais, je pense que d’autres personnes l’ont compris à l’époque, puis cela a été supprimé, mais cela a fait de chaque personne dans le monde un combattant présumé ou une cible ennemie.

Il s’agissait essentiellement d’une loi martiale, mondiale, secrète, instaurée de facto par le gouvernement américain.

Puis au début des années 2000, il y’a eu la loi Patriot, la loi de préparation et défense de santé publique au bioterrorisme, et la loi de sécurité de la patrie. Il s’agissait plus de fusion du DHS, du DOJ, du HHS, du ministère de la Défense, et de toutes les Agences ministérielles.

Depuis lors, de 2003 à 2009, beaucoup de décrets sur ces questions, bien plus de statuts et de crédits, de règlements d’agences, de rapports d’orientations diffusés aux autorités étatiques, locales, des tribus et aux forces de l’ordre afin qu’ils sachent qu’en cas d’urgence de santé, ils sont subordonnés à l’armée fédérale.

La FDA a publié de nombreux documents d’orientations pour l’industrie, et les a envoyés aux labos pharmaceutiques, aux organisations universitaires, aux ONG pour les informer de la manière dont la FDA allait traiter les produits expérimentaux, tels que les vaccins, les thérapies géniques, les produits biologiques, et à procéder à d’autres essais comme pour le SRAS en 2003, le MERS en 2006, et le H1N1 en 2009.

Cela nous amène à l’autre autorité de transactions qui a été révélée par la mention déposée par Pfizer le 20 avril 2022 pour rejeter la plainte déposée par la lanceuse d’alerte Brooke Jackson au titre de la loi sur les fausses allégations. Ils ont dit, ce n’est pas un vaccin, mais un prototype du ministère de la Défense, nous n’étions aucunement obligés à procéder à des essais cliniques valides, ni de prouver la sécurité ou l’efficacité du produit à qui que ce soit. Nous n’avons jamais eu à obtenir d’autorisations de la FDA selon les lois normales d’orientation de l’Industrie, car il s’agissait d’un prototype.

Le 4 octobre 2022, le gouvernement américain a approuvé ce point de vue et a déposé une déclaration d’intérêt et de soutien à la motion de rejet disant en substance que les essais cliniques n’ont jamais été importants ou nécessaires pour que le DOD paie les sous-traitants pour la production et la distribution des armes biologiques sous le nom de vaccins Covid-19.

Tout cela est donc devenu visible entre 2020 à aujourd’hui, lorsque le secrétaire général de l’OMS a émis l’urgence de santé publique de portée internationale, fin janvier 2020, et que le secrétaire du HHS a immédiatement déclenché le cadre national par la détermination de l’existence d’une urgence de santé publique, suivi par la déclaration de loi de préparation pour les contre-mesures médicales qui sont les armes.

Ensuite, le Congrès et les présidents Trump et Biden ont adopté plusieurs lois supplémentaires pour financer et renforcer la structure de la boîte à tuer et ont émis d’autres ordres exécutifs en vertu de la loi sur la production de défense, de la loi Stafford, et de la loi sur les urgences nationales pour développer le programme. En gros, cela a créé un énorme flux de financement public et privé pour la recherche et l’utilisation d’armes biologiques pour les militaires.

L’élimination du consentement éclairé en reclassant les personnes potentiellement porteuses d’une maladie en menaces présumées pour la sécurité nationale, pour que vous puissiez leur faire tout ce que vous voulez, car vous êtes sur le pied de guerre.

Pour protéger les produits et les armes de la responsabilité du produit protégé, tous impliqué de la responsabilité criminelle et civile, et le gouvernement, les bailleurs de fonds, les développeurs et les régulateurs des poursuites criminelles en vertu des autres lois en place, mais qui sont en quelque sorte supplantées par ce cadre pour l’utilisation d’armes biologiques, d’armes chimiques du terrorisme, des choses comme ça.

Je le vois comme un projet commun entre le ministère de la Défense des États-Unis, en comité de coordination de celui-ci, la réserve fédérale, l’Organisation mondiale de la santé, et la banque fédérale des règlements internationaux. Et les Nations Unies, mais l’OMS est comme une filiale de l’ONU.

Les mondialistes n’aiment pas certaines choses, ils n’aiment pas les constitutions et les chartes, ils n’aiment pas les cadres législatifs contradictoires entourant le bioterrorisme, les crimes de guerre, le génocide, la torture, ils n’aiment rien de tout cela.

Ils n’aiment que les États provinces, contés et les villes adoptent leurs propres lois pour protéger le consentement éclairé, la sécurité des consommateurs. Ils ont publié un rapport en octobre 2022, les lois des États qui limitent la protection de la santé publique sont dangereuses pour notre santé, ce rapport contient tout un tas de points que les États ont commencé à faire, et que les mondialistes n’aiment pas. Donc, faire davantage de ces choses, ramener le contrôle à l’État, utiliser davantage l’article 10 de la Constitution pour récupérer l’autorité de l’État, tout cela a été extrêmement utile, et je pense que cela va se briser, je pense qu’un point de basculement se produira et que les poursuites pénales vont commencer.

Nous avons toutes les preuves et chaque fois qu’ils essaient pour répondre à ce dont nous parlons en disant Sécurité nationale, ils renforcent l’idée que c’est la bonne voie à suivre, c’est ce qu’ils font, ils commettent des crimes, des guerres.
 
 
 
 
 
 
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