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Le professeur Henri Joyeux a été radié de l’Ordre des médecins. Cette décision prendra effet à partir du 1er décembre 2016. Le motif invoqué par les nouveaux inquisiteurs est le suivant :
« La tenue de propos non appuyés sur des bases scientifiques [et portant] atteinte à la profession », et « un discours qui peut être dangereux pour la population parce qu’il s’agirait de discréditer le mécanisme de vaccination préventive »
Devant un tel crime de la pensée, aussi impardonnable que celui de Galilée, la nouvelle inquisition n’avait que ce pauvre moyen de rétorsion contre un homme déjà à la retraite, et donc inatteignable. Ils ne pouvaient ni lui enlever ses diplômes, ni ses compétences, ni lui supprimer son savoir, et encore moins le bâillonner à l’heure d’internet.

Le plus grave, c’est qu’ils sanctionnent le professeur pour avoir fait son devoir, celui que l’on demande à tout médecin, à savoir, signaler tout problème lié à l’usage d’un médicament. Il n’existe aujourd’hui, aucune assise scientifique permettant d’affirmer, avec certitude, que la vaccination est inutile ou représente un danger. Henri Joyeux ne l’a jamais affirmé. Malgré les nombreux témoignages contre les vaccins, il ne s’est jamais élevé contre la vaccination. En revanche, il est avéré que certains vaccins, de par leur composition, peuvent être dangereux. Il est également avéré que certaines combinaisons de vaccins sont tout à fait inutiles et pourraient être dangereuses. De même, les conditions d’inoculation des produits vaccinaux varient d’un pays à l’autre, et semblent obéir à des décisions politiques subordonnées à des intérêts commerciaux. C’est ce que dénonce le Professeur Henri Joyeux.

Les « bases scientifiques » derrière lesquelles s’abritent ces Messieurs du Conseil de l’Ordre n’ont jamais été nécessaires, ni à eux, ni à aucun médecin, pour arrêter un traitement dont les effets secondaires sont insupportables par le patient. Les simples affirmations du patient suffisent pour faire réagir le médecin. Où est la science là-dedans ? Il s’agit d’un principe élémentaire de précaution qui s’applique à tous les traitements. Ce principe devrait s’appliquer encore plus vis-à-vis des vaccins, dans la mesure où il ne s’agit que de prévention et non d’une nécessité d’urgence.


L’arrogance des membres du Conseil de l’Ordre ne peut que rappeler les docteurs en théologie qui, surs de leur science, avaient condamné Galilée. Ils devraient se souvenir que, il n’y a pas si longtemps, on saignait encore à tour de bras de pauvres bougres qui auraient pourtant eu besoin de la totalité de leur masse sanguine pour lutter contre la mort. Cela les aiderait à relativiser les connaissances « scientifiques » médicales.

Source : Réseau International





 
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